Bienfaisance : le centre d’accueil de Mme Dominique Ouattara a reçu, dans la matinée d’hier, la visite de personnalités de notoriété mondiale : la princesse Virgina Ira Von Fürstenberg, Alain Delon…
La case des enfants, centre d’accueil appartenant depuis 1998 à Mme Dominique Quattara, avait fait, hier, sa toilette des grands jours. Ses pensionnaires, une cinquantaine de jeunes pousses, précédemment en situation difficile (orphelins, abandonnes...) et recueillis pour connaître et vivre un mieux-être, avaient formé une haie d’honneur pour accueillir Alain Delon, Adriana Karembeu, Mc Solaar, Safif Kéita, Samuel Eto’o..., ces personnes qui font rêver. A 11h 22, les stars sont là en tenue décontractée. Elles sont reçues par la Première dame et « ses » enfants dont les voix juvéniles scandent un chaleureux Akwaba. Une fois installés, les visiteurs ont droit à des mots de gratitude. « Merci d’avoir pensé à nous », dira Wilfried Kouassi, âgé de 10 ans et en classe de Cm1. Ezekiel, 11 ans, lui emboîtera le pas : « Merci de penser à nous. Nous allons vous récompenser en travaillant bien à l`école ». UN autre pensionnaire récitera les vers d’un poème intitulé L`espoir. Sa prestation ponctuée de gestes amples, décomplexés et habitués, on eut dit, aux projecteurs, arrachera des applaudissements à l’assistance, à Alain Delon surtout ; l’acteur visiblement ému qui aura reconnu, là, de la bonne graine. Cette graine à 10 ans et se nomme Samuel Zo Guela. Apres sa prestation les regards des enfants de la case se détournent du fil de la réception et se laissent absorber par la venue d’un autre Samuel Baptisé Eto’o, il venait d’arriver et s’est fait fort de ne pas rater la visite. Pendant que les jeunes garçons rivalisent en commentaires sur la star de football, un ballet constitué de pas de danses tant urbaines que rurales, est exécuté et cède la place à des remises de dessins réalisés par les pensionnaires qui sont nourris á la mamelle de l’art plastique, de l’art martial (karaté) et aussi suivis pour leur équilibre, par des pédopsychiatres. « Ils ont beaucoup de chance. Ils bénéficient d’un encadrement d`un suivi. Il faut qu’ils en profitent pour saisir chance », nous confie Mc Solaar. (Presque) au pas de course, les étoiles qui doivent honorer les engagements horaires, se retirent de l’établissement qui pourra se vanter d’avoir brillé de mille feux pour ses garçonnets et fillettes qui ont reçu, l’espace d’un échange, suffisamment de baume et d’espoir pour rêver d’être Eto’o, Delon, Adriana, Safif, Solaar, ces références qui, de leurs gestes de générosité et déplacements, écrivent l’histoire de l’humanité.
La case des enfants, centre d’accueil appartenant depuis 1998 à Mme Dominique Quattara, avait fait, hier, sa toilette des grands jours. Ses pensionnaires, une cinquantaine de jeunes pousses, précédemment en situation difficile (orphelins, abandonnes...) et recueillis pour connaître et vivre un mieux-être, avaient formé une haie d’honneur pour accueillir Alain Delon, Adriana Karembeu, Mc Solaar, Safif Kéita, Samuel Eto’o..., ces personnes qui font rêver. A 11h 22, les stars sont là en tenue décontractée. Elles sont reçues par la Première dame et « ses » enfants dont les voix juvéniles scandent un chaleureux Akwaba. Une fois installés, les visiteurs ont droit à des mots de gratitude. « Merci d’avoir pensé à nous », dira Wilfried Kouassi, âgé de 10 ans et en classe de Cm1. Ezekiel, 11 ans, lui emboîtera le pas : « Merci de penser à nous. Nous allons vous récompenser en travaillant bien à l`école ». UN autre pensionnaire récitera les vers d’un poème intitulé L`espoir. Sa prestation ponctuée de gestes amples, décomplexés et habitués, on eut dit, aux projecteurs, arrachera des applaudissements à l’assistance, à Alain Delon surtout ; l’acteur visiblement ému qui aura reconnu, là, de la bonne graine. Cette graine à 10 ans et se nomme Samuel Zo Guela. Apres sa prestation les regards des enfants de la case se détournent du fil de la réception et se laissent absorber par la venue d’un autre Samuel Baptisé Eto’o, il venait d’arriver et s’est fait fort de ne pas rater la visite. Pendant que les jeunes garçons rivalisent en commentaires sur la star de football, un ballet constitué de pas de danses tant urbaines que rurales, est exécuté et cède la place à des remises de dessins réalisés par les pensionnaires qui sont nourris á la mamelle de l’art plastique, de l’art martial (karaté) et aussi suivis pour leur équilibre, par des pédopsychiatres. « Ils ont beaucoup de chance. Ils bénéficient d’un encadrement d`un suivi. Il faut qu’ils en profitent pour saisir chance », nous confie Mc Solaar. (Presque) au pas de course, les étoiles qui doivent honorer les engagements horaires, se retirent de l’établissement qui pourra se vanter d’avoir brillé de mille feux pour ses garçonnets et fillettes qui ont reçu, l’espace d’un échange, suffisamment de baume et d’espoir pour rêver d’être Eto’o, Delon, Adriana, Safif, Solaar, ces références qui, de leurs gestes de générosité et déplacements, écrivent l’histoire de l’humanité.