Au cours de sa rentrée officielle tenue, hier à son siège, l’Association professionnelle des banques a affiché les performances réalisées pour 2011.
Les trois dernières années (2008 à 2011) ont vu leurs performances s’accroître. Le président de l’Association professionnelle des banques et établissements financiers de Côte d’Ivoire (Apbef-ci), Souleymane Diarrassouba a félicité, hier, l’ensemble des membres de la structure pour les progrès effectués en trois ans d’activité dans un contexte, pourtant, moins propice. C’était au cours de la rentrée officielle 2012 de l’association dans ces locaux sis au Plateau. Selon lui, « le nombre de comptes ouverts est passé de 879 478 en 2008 à 1 847 837 en 2011, soit 110 %, le nombre de dépôts clientèle de 2 171 milliards de Fcfa à 3 113 milliards Fcfa soit 43% et sur le plan des recrutements, les effectifs sont passés de 4 529 à 6 000 en 2011 », a-t-il souligné. Il a aussi fait mention des produits proposés aux consommateurs durant ladite période. Tels que le Leasing (crédit bail), les produits monétiques, l’E-banking et le Mobil-banking. « C’est une performance à saluer », a dit Souleymane Diarrassouba. D’autant plus que le résultat net des banques publiques et privées ont réalisé un résultat net de près de 4 000 milliards, soit une augmentation de 37% depuis quatre ans. Devant la vingtaine de banques et établissements financiers constituant l’Apbef-ci et les journalistes, il a réitéré l’engament de la structure à accompagner l’Etat dans sa politique de relance économique. Pour ce faire, il a proposé quelques solutions. Entre autres, le renforcement des fonds propres des établissements de crédit, la réforme du secteur bancaire et financier avec des dispositions incitant à plus de financement des investissements. Mais nonobstant ces propositions et la croissance de l’ordre de 8,5% annoncé par le gouvernement. Et qui, selon Souleymane Diarrassouba, augure un dynamisme pour les années à venir, l’Apbef-ci dit attendre que l’Etat prenne en compte un nombre de préoccupations découlant de la récente crise postélectorale. Entre autres, les dédommagements de l’impact poste-crise, (estimé à 100 milliards de Fcfa), la réforme de la fiscalité du crédit bail et du cadastre, la protection des biens et des personnes. Enfin le président de l’Apbef-ci a annoncé une journée porte-ouverte pour les clients des banques, mais aussi un programme de renforcement des capacités des journalistes. Afin de leur permettre de mieux informer les usagers sur l’activité bancaire en Côte d’Ivoire.
K.A
Les trois dernières années (2008 à 2011) ont vu leurs performances s’accroître. Le président de l’Association professionnelle des banques et établissements financiers de Côte d’Ivoire (Apbef-ci), Souleymane Diarrassouba a félicité, hier, l’ensemble des membres de la structure pour les progrès effectués en trois ans d’activité dans un contexte, pourtant, moins propice. C’était au cours de la rentrée officielle 2012 de l’association dans ces locaux sis au Plateau. Selon lui, « le nombre de comptes ouverts est passé de 879 478 en 2008 à 1 847 837 en 2011, soit 110 %, le nombre de dépôts clientèle de 2 171 milliards de Fcfa à 3 113 milliards Fcfa soit 43% et sur le plan des recrutements, les effectifs sont passés de 4 529 à 6 000 en 2011 », a-t-il souligné. Il a aussi fait mention des produits proposés aux consommateurs durant ladite période. Tels que le Leasing (crédit bail), les produits monétiques, l’E-banking et le Mobil-banking. « C’est une performance à saluer », a dit Souleymane Diarrassouba. D’autant plus que le résultat net des banques publiques et privées ont réalisé un résultat net de près de 4 000 milliards, soit une augmentation de 37% depuis quatre ans. Devant la vingtaine de banques et établissements financiers constituant l’Apbef-ci et les journalistes, il a réitéré l’engament de la structure à accompagner l’Etat dans sa politique de relance économique. Pour ce faire, il a proposé quelques solutions. Entre autres, le renforcement des fonds propres des établissements de crédit, la réforme du secteur bancaire et financier avec des dispositions incitant à plus de financement des investissements. Mais nonobstant ces propositions et la croissance de l’ordre de 8,5% annoncé par le gouvernement. Et qui, selon Souleymane Diarrassouba, augure un dynamisme pour les années à venir, l’Apbef-ci dit attendre que l’Etat prenne en compte un nombre de préoccupations découlant de la récente crise postélectorale. Entre autres, les dédommagements de l’impact poste-crise, (estimé à 100 milliards de Fcfa), la réforme de la fiscalité du crédit bail et du cadastre, la protection des biens et des personnes. Enfin le président de l’Apbef-ci a annoncé une journée porte-ouverte pour les clients des banques, mais aussi un programme de renforcement des capacités des journalistes. Afin de leur permettre de mieux informer les usagers sur l’activité bancaire en Côte d’Ivoire.
K.A