Le président de l’Africa Sport d’Abidjan, Me Koné Cheick Oumar était, hier, l’invité du quotidien, L’Intelligent d’Abidjan. Accompagné de quelques uns de ses collaborateurs, dont Alexis Vagba, Antoine Bailly, Doré Lacina, l’actuel patron des Vert et rouge a donné les raisons de sa venue à la tête du Club et dit sa détermination à faire de l’Africa, «le Réal de Madrid d’Afrique». Me Koné Cheich Oumar avoue être là, rien que par sa passion pour ce club.
Même si son statut de dirigeant de club n’était pas le seul point à l’ordre du jour, le nouveau patron de l’Africa n’a pas manqué d’en faire l’un des principaux sujets à cette tribune offerte par le directeur général de l’Intelligent d’Abidjan, Assé Alafé, et son équipe. Pour rassurer l’auditoire sur sa fortune actuelle, Me Koné Cheich Oumar a indiqué avoir été initié très tôt au milieu de l’entrepreneuriat par son père. Du lycée à l’Université, l’homme a appris à faire fortune. Gérant de cabines, vendeur de poulets, propriétaire de taxis-compteurs, l’homme a finalement réussi à se hisser un niveau assez respectable avec à la clef, le groupe Koneco, une dizaine d’entreprises dans des domaines variées. C’est grâce à cette fortune amassée qu’il atterrit au chevet de l’Africa sports d’Abidjan, le club qu’il aime passionnément. «C’est au cours d’un conseil d’administration du groupe Koneco qu’un de mes collaborateurs rendant une pause de quelques minutes, m’a informé que l’Africa avait des problèmes. Et que si rien n’est fait, le club filait droit vers la relégation», explique-t-il Une situation qui n’a heureusement n’a pas laissé indifférent ce grand homme d’affaires. «J’ai alors demandé à voir les dirigeants du club. Vagba et Bailly que je connaissais avant. Ceux -là ont souhaité que je prenne le club. Mais j’ai précisé que je pourrai accepter qu’à la seule condition que ce soit la volonté de tous. C’est alors qu’il m’ont confié le club à l’issue d’une assemblée générale. J’ai fait appel à tous pour sceller une union notamment Doré Lassina et Sangaré Mamadou», a précisé le président de l’Africa pour lequel le plus important, aujourd’hui, c’est « de permettre à ces millions de supporters de retrouver le sourire. Autrement dit, l’homme fort du club vert et rouge promet un grand Africa. « je suis venu à l’Africa avec la passion et c’est cette passion qui va nous conduire à faire de ce club, le Réal de Madrid. Je vous promets que nous allons y arriver avec le travail, l’abnégation et surtout la détermination », a-t-il fait savoir. Mais avertit Me Koné Cheick Oumar «Tout cela n’est possible que dans l’organisation et le sérieux». Malgré sa détermination à donner à l’Africa une autre dimension, Me Koné Cheich reste réaliste. Il sait qu’un club se bâtit progressivement non sans ignorer les problèmes. «On ne peut pas venir en 4 mois et solutionner tous les problèmes de l’Africa. Il nous faut un siège, un terrain d’entraînements dignes du club, un centre de formation. Etc… je ne peux pas soutenir qu’il n’y a plus de problème. C’est pour ça, d’ailleurs, que je suis là avec mes collaborateurs», a-t-il soutenu. Pour l’heure, les choses s’améliorent puisque le patron de l’Africa nous apprend que le salaire de ses joueurs s’est considérablement amélioré. «A Africa, il n’y a pas un joueur qui n’a pas au moins 350 000 francs de salaire». S’agissant du prochain match contre le Zamālek en Ligue des champions le président Koné Cheick promet «l’enfer» à l’adversaire même si l’équipe égyptienne mérite respect.
De Bouaffo
Même si son statut de dirigeant de club n’était pas le seul point à l’ordre du jour, le nouveau patron de l’Africa n’a pas manqué d’en faire l’un des principaux sujets à cette tribune offerte par le directeur général de l’Intelligent d’Abidjan, Assé Alafé, et son équipe. Pour rassurer l’auditoire sur sa fortune actuelle, Me Koné Cheich Oumar a indiqué avoir été initié très tôt au milieu de l’entrepreneuriat par son père. Du lycée à l’Université, l’homme a appris à faire fortune. Gérant de cabines, vendeur de poulets, propriétaire de taxis-compteurs, l’homme a finalement réussi à se hisser un niveau assez respectable avec à la clef, le groupe Koneco, une dizaine d’entreprises dans des domaines variées. C’est grâce à cette fortune amassée qu’il atterrit au chevet de l’Africa sports d’Abidjan, le club qu’il aime passionnément. «C’est au cours d’un conseil d’administration du groupe Koneco qu’un de mes collaborateurs rendant une pause de quelques minutes, m’a informé que l’Africa avait des problèmes. Et que si rien n’est fait, le club filait droit vers la relégation», explique-t-il Une situation qui n’a heureusement n’a pas laissé indifférent ce grand homme d’affaires. «J’ai alors demandé à voir les dirigeants du club. Vagba et Bailly que je connaissais avant. Ceux -là ont souhaité que je prenne le club. Mais j’ai précisé que je pourrai accepter qu’à la seule condition que ce soit la volonté de tous. C’est alors qu’il m’ont confié le club à l’issue d’une assemblée générale. J’ai fait appel à tous pour sceller une union notamment Doré Lassina et Sangaré Mamadou», a précisé le président de l’Africa pour lequel le plus important, aujourd’hui, c’est « de permettre à ces millions de supporters de retrouver le sourire. Autrement dit, l’homme fort du club vert et rouge promet un grand Africa. « je suis venu à l’Africa avec la passion et c’est cette passion qui va nous conduire à faire de ce club, le Réal de Madrid. Je vous promets que nous allons y arriver avec le travail, l’abnégation et surtout la détermination », a-t-il fait savoir. Mais avertit Me Koné Cheick Oumar «Tout cela n’est possible que dans l’organisation et le sérieux». Malgré sa détermination à donner à l’Africa une autre dimension, Me Koné Cheich reste réaliste. Il sait qu’un club se bâtit progressivement non sans ignorer les problèmes. «On ne peut pas venir en 4 mois et solutionner tous les problèmes de l’Africa. Il nous faut un siège, un terrain d’entraînements dignes du club, un centre de formation. Etc… je ne peux pas soutenir qu’il n’y a plus de problème. C’est pour ça, d’ailleurs, que je suis là avec mes collaborateurs», a-t-il soutenu. Pour l’heure, les choses s’améliorent puisque le patron de l’Africa nous apprend que le salaire de ses joueurs s’est considérablement amélioré. «A Africa, il n’y a pas un joueur qui n’a pas au moins 350 000 francs de salaire». S’agissant du prochain match contre le Zamālek en Ligue des champions le président Koné Cheick promet «l’enfer» à l’adversaire même si l’équipe égyptienne mérite respect.
De Bouaffo