La destination Côte d’Ivoire attire de plus en plus d’investisseurs étrangers. Une des causes principales de ce regain de confiance, c’est la capacité des autorités ivoiriennes à créer les conditions favorables à l’investissement.
En prélude au forum d’affaires dédié à l’investissement prévu en octobre prochain à Abidjan, Ubifrance, l’Agence pour le développement international des entreprises françaises, a organisé le 2 avril 2012 dernier, en région parisienne, un atelier d’information, baptisé : «Le grand retour des courants d’affaires France - Côte d’Ivoire». Avec la participation des PME spécialisées dans la vente d’équipements, des Cabinets de conseil indépendant, spécialistes de la Sécurité des Systèmes d'Information et plusieurs autres entreprises exerçant dans diverses activités, le forum aura été une occasion pour la délégation ivoirienne, comprenant entre autre, Esmel Emmanuel Essis, Directeur général du Centre de Promotion des Investissements en Côte d’Ivoire, Jean-Louis Billon, Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire, de revenir sur les opportunités d’affaires en Côte d’Ivoire depuis la fin de la crise postélectorale. Pour ces deux personnalités qui ont décidé de vendre la destination ‘’Ivoire’’ aux opérateurs économiques français, Abidjan demeure la capitale de l’investissement. Ce sont 100 entreprises françaises et 300 entreprises ivoiriennes qui prendront par au Forum du 14 au 17 octobre 2012, à Abidjan. Esmel Emmanuel Essis et Jean-Louis Billon se sont appuyé les dernières décisions prises par les autorités ivoiriennes, relativement à la facilitation à l’investissement, à la lutte contre la corruption, à la lenteur dans l’administration publique pour convaincre les investisseurs. Il s’agit en outre des conditions favorables à l’investissement. «Des mesures ont été prises pour lutter contre le harcèlement fiscal, contre la corruption et les tribunaux de commerce qu'on réclamait depuis 15 ans seront une réalité en juin prochain », a assuré Jean-Louis Billon. Des avancées que salue Gilles Della Guardia, directeur Ubifrance pour l'Afrique de l'Ouest, à l’édition de la soirée du lundi 2 avril 2012 de RFI (Radio France Inter). Selon lui, l'économie connaît un renouveau. «Nous avons un gouvernement qui a un objectif ambitieux, qui entend faire de la Côte d’Ivoire, un pays émergent pour 2020. Pour les quelques mois que nous avons observé sur le terrain, nous avons vu que tout ce qui a été promis a été réalisé. Et ça, ça fait revenir la confiance», indique-t-il. Notant les améliorations opérées au niveau de l’administration. Toutes chose, estime-t-il, est de nature à rassurer les investisseurs et qui démontre que quelque de chose de plus important est en train d’être fait. Pour Gilles Della Guardia, le taux de croissance et l’argument numéro 1. Les entreprises françaises veulent être plus proches des réalités ivoiriennes et elles veulent faire sienne le forum d’affaires d’Abidjan.
Honoré Kouassi
En prélude au forum d’affaires dédié à l’investissement prévu en octobre prochain à Abidjan, Ubifrance, l’Agence pour le développement international des entreprises françaises, a organisé le 2 avril 2012 dernier, en région parisienne, un atelier d’information, baptisé : «Le grand retour des courants d’affaires France - Côte d’Ivoire». Avec la participation des PME spécialisées dans la vente d’équipements, des Cabinets de conseil indépendant, spécialistes de la Sécurité des Systèmes d'Information et plusieurs autres entreprises exerçant dans diverses activités, le forum aura été une occasion pour la délégation ivoirienne, comprenant entre autre, Esmel Emmanuel Essis, Directeur général du Centre de Promotion des Investissements en Côte d’Ivoire, Jean-Louis Billon, Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire, de revenir sur les opportunités d’affaires en Côte d’Ivoire depuis la fin de la crise postélectorale. Pour ces deux personnalités qui ont décidé de vendre la destination ‘’Ivoire’’ aux opérateurs économiques français, Abidjan demeure la capitale de l’investissement. Ce sont 100 entreprises françaises et 300 entreprises ivoiriennes qui prendront par au Forum du 14 au 17 octobre 2012, à Abidjan. Esmel Emmanuel Essis et Jean-Louis Billon se sont appuyé les dernières décisions prises par les autorités ivoiriennes, relativement à la facilitation à l’investissement, à la lutte contre la corruption, à la lenteur dans l’administration publique pour convaincre les investisseurs. Il s’agit en outre des conditions favorables à l’investissement. «Des mesures ont été prises pour lutter contre le harcèlement fiscal, contre la corruption et les tribunaux de commerce qu'on réclamait depuis 15 ans seront une réalité en juin prochain », a assuré Jean-Louis Billon. Des avancées que salue Gilles Della Guardia, directeur Ubifrance pour l'Afrique de l'Ouest, à l’édition de la soirée du lundi 2 avril 2012 de RFI (Radio France Inter). Selon lui, l'économie connaît un renouveau. «Nous avons un gouvernement qui a un objectif ambitieux, qui entend faire de la Côte d’Ivoire, un pays émergent pour 2020. Pour les quelques mois que nous avons observé sur le terrain, nous avons vu que tout ce qui a été promis a été réalisé. Et ça, ça fait revenir la confiance», indique-t-il. Notant les améliorations opérées au niveau de l’administration. Toutes chose, estime-t-il, est de nature à rassurer les investisseurs et qui démontre que quelque de chose de plus important est en train d’être fait. Pour Gilles Della Guardia, le taux de croissance et l’argument numéro 1. Les entreprises françaises veulent être plus proches des réalités ivoiriennes et elles veulent faire sienne le forum d’affaires d’Abidjan.
Honoré Kouassi
