Abidjan, La France soutient les initiatives de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cedeao) pour une stabilisation durable en Guinée Bissau où une tentative de coup d’Etat crée une confusion totale dans la capitale.
Suite aux violences qui ont visé jeudi le domicile du premier ministre, Carlos Gomes Junior, candidat arrivé, le 18 mars, en tête du premier scrutin aux élections présidentielles en Guinée Bissau, certains points stratégiques de la capitale, Bissau, sont occupés par les militaires avec l’interpellation de certaines autorités, souligne-t-on.
"La France condamne l’usage de la violence et appelle les forces armées au respect de la Constitution et des institutions démocratiques bissau-guinéennes", indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères, qui dit suivre "avec attention" l’évolution de la situation dans ce pays.
La France rappelle donc qu’il a appartient aux autorités bissau-guinéennes intérimaires de conduire le processus électoral en cours à son terme dans un climat apaisé et de façon libre et transparente.
Dans un communiqué rendu public vendredi après-midi, les autorités militaires de Guinée Bissau auraient affirmé qu’elles n’ont pas l’intention de perpétrer un putsch, mais pour dénoncer un "accord militaire secret" conclu, selon elles, par le pouvoir.
(AIP)
kp
Suite aux violences qui ont visé jeudi le domicile du premier ministre, Carlos Gomes Junior, candidat arrivé, le 18 mars, en tête du premier scrutin aux élections présidentielles en Guinée Bissau, certains points stratégiques de la capitale, Bissau, sont occupés par les militaires avec l’interpellation de certaines autorités, souligne-t-on.
"La France condamne l’usage de la violence et appelle les forces armées au respect de la Constitution et des institutions démocratiques bissau-guinéennes", indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères, qui dit suivre "avec attention" l’évolution de la situation dans ce pays.
La France rappelle donc qu’il a appartient aux autorités bissau-guinéennes intérimaires de conduire le processus électoral en cours à son terme dans un climat apaisé et de façon libre et transparente.
Dans un communiqué rendu public vendredi après-midi, les autorités militaires de Guinée Bissau auraient affirmé qu’elles n’ont pas l’intention de perpétrer un putsch, mais pour dénoncer un "accord militaire secret" conclu, selon elles, par le pouvoir.
(AIP)
kp