Abidjan, A l’initiative du premier ministre ivoirien, Me Jeannot Kouadio-Ahoussou, s’ouvrira vendredi, à Grand-Bassam, la rencontre politique entre le gouvernement et l’opposition, baptisée "Dialogue républicain".
Destiné à renouer à renouer le fil du dialogue et décrisper la vie politique en Côte d’Ivoire après la meurtrière crise déclenchée après le second tour de la présidentielle de novembre 2010, ce conclave pourrait se dérouler sans le Front populaire ivoirien (FPI, parti de l’ex-parti Laurent Gbagbo).
A en croire la presse nationale, citant les responsables du FPI, un courrier aurait été adressé au chef du gouvernement pour demander un report de la rencontre à une date ultérieure pour avoir le temps de terminer la convention prévue dans la même période.
"Nous sommes d’accord pour aller à la table du dialogue. La seule chose qui nous gêne, c’est que nous avons reçu le courrier du premier ministre alors que nous avions déjà fixé la date de notre convention", a expliqué dans le quotidien L’Inter du 24 avril.
Lancées avant les législatives de décembre, les discussions entre le pouvoir et l’opposition avaient été suspendues à la suite de préalables posés par les partisans de Laurent Gbagbo qui réclamaient, entre autres, la libération de tous leurs camardes en détention (dont M. et Mme Gbagbo), le dégel des avoirs des responsables de l’ancien régime, la recomposition de la Commission électorale indépendante (CEI) et le retour des exilés, rappelle-t-on.
Au lendemain de sa nomination, le 20 mars, le premier ministre Kouadio-Ahoussou a annoncé la reprise du dialogue avec l’opposition auquel sont conviés, entre autres mouvements et formations politiques Alternative citoyenne, Agir pour la paix et la nation (APN) et Liberté et démocratie pour la République (LIDER) et le Rassemblement du peuple de Côte d’Ivoire (RPCI), souligne-t-on.
(AIP)
kp
Destiné à renouer à renouer le fil du dialogue et décrisper la vie politique en Côte d’Ivoire après la meurtrière crise déclenchée après le second tour de la présidentielle de novembre 2010, ce conclave pourrait se dérouler sans le Front populaire ivoirien (FPI, parti de l’ex-parti Laurent Gbagbo).
A en croire la presse nationale, citant les responsables du FPI, un courrier aurait été adressé au chef du gouvernement pour demander un report de la rencontre à une date ultérieure pour avoir le temps de terminer la convention prévue dans la même période.
"Nous sommes d’accord pour aller à la table du dialogue. La seule chose qui nous gêne, c’est que nous avons reçu le courrier du premier ministre alors que nous avions déjà fixé la date de notre convention", a expliqué dans le quotidien L’Inter du 24 avril.
Lancées avant les législatives de décembre, les discussions entre le pouvoir et l’opposition avaient été suspendues à la suite de préalables posés par les partisans de Laurent Gbagbo qui réclamaient, entre autres, la libération de tous leurs camardes en détention (dont M. et Mme Gbagbo), le dégel des avoirs des responsables de l’ancien régime, la recomposition de la Commission électorale indépendante (CEI) et le retour des exilés, rappelle-t-on.
Au lendemain de sa nomination, le 20 mars, le premier ministre Kouadio-Ahoussou a annoncé la reprise du dialogue avec l’opposition auquel sont conviés, entre autres mouvements et formations politiques Alternative citoyenne, Agir pour la paix et la nation (APN) et Liberté et démocratie pour la République (LIDER) et le Rassemblement du peuple de Côte d’Ivoire (RPCI), souligne-t-on.
(AIP)
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