Le cortège de Daniel Ouattara, Coordonnateur du PNRRC et Ibrahim Ouattara, ministre des Affaires présidentielles a échappé de justesse à une attaque le samedi dernier. En effet revenant de Kong où les deux personnalités ont pris part à la cérémonie de réinsertion des ex-combattants, leur cortège est tombé dans une embuscade de coupeurs de route en pleine opération à une trentaine de kilomètres de Ferké. Obligeant ainsi le cortège à marquer un arrêt forcé. Le pire a été évité grâce à la dextérité des gendarmes et d’Adome Adiaffi le chauffeur de la flèche.
Les gangsters ont été mis en déroute par les gendarmes du cortège. Pris de panique, les malfrats ont pris la poudre d’escampette en ouvrant le feu. Seul le véhicule de la ‘’flèche’’ a été endommagé par les tirs des bandits. «Il ne se passe pas de jour sans qu’on nous signale la présence des coupeurs de route dans la région», révèle Traoré Vassiriki préfet de Ferké qui était également du voyage.
L’administrateur civil explique que la situation sécuritaire dans son département demeure préoccupante. Il affirme que depuis l’élection présidentielle, les populations sont terrorisées par des malfrats qui opèrent avec des armes de guerre. «Ce qui se passe est inquiétant. Nous avons plus de 400 jeunes démobilisés ici. Faute d’être réinsérés, ils s’adonnent aux braquages», poursuit-il. Tout en souhaitant que les policiers et les gendarmes affectés dans la zone soient dotés de moyens conséquents pour traquer les bandits qui sévissent dans le département. «Nous avons un lot important de personnes qui sont en attente d’être réinsérées. Il faut donc arrêter les longs discours et être sur le terrain comme cela a été le cas à Kong», fait observer Daniel Ouattara. Selon lui, le nombre important de jeunes en armes et à réinsérer serait à la base de l’insécurité. Il a souligné la nécessité de mettre des moyens conséquents à la disposition du Pnrrc pour lui permettre de mener à bien sa mission de réinsertion des ex-combattants.
ZC
Les gangsters ont été mis en déroute par les gendarmes du cortège. Pris de panique, les malfrats ont pris la poudre d’escampette en ouvrant le feu. Seul le véhicule de la ‘’flèche’’ a été endommagé par les tirs des bandits. «Il ne se passe pas de jour sans qu’on nous signale la présence des coupeurs de route dans la région», révèle Traoré Vassiriki préfet de Ferké qui était également du voyage.
L’administrateur civil explique que la situation sécuritaire dans son département demeure préoccupante. Il affirme que depuis l’élection présidentielle, les populations sont terrorisées par des malfrats qui opèrent avec des armes de guerre. «Ce qui se passe est inquiétant. Nous avons plus de 400 jeunes démobilisés ici. Faute d’être réinsérés, ils s’adonnent aux braquages», poursuit-il. Tout en souhaitant que les policiers et les gendarmes affectés dans la zone soient dotés de moyens conséquents pour traquer les bandits qui sévissent dans le département. «Nous avons un lot important de personnes qui sont en attente d’être réinsérées. Il faut donc arrêter les longs discours et être sur le terrain comme cela a été le cas à Kong», fait observer Daniel Ouattara. Selon lui, le nombre important de jeunes en armes et à réinsérer serait à la base de l’insécurité. Il a souligné la nécessité de mettre des moyens conséquents à la disposition du Pnrrc pour lui permettre de mener à bien sa mission de réinsertion des ex-combattants.
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