(…) Nous avons été débordés malgré toutes les dispositions prises. Tous les Ivoiriens de tous les horizons voulaient participer à cette fête. De mémoire d’habitants de Yamoussoukro, c’était la première fois que l’on voyait une telle mobilisation. Même les funérailles de feu Félix Houphouët-Boigny n’ont pas drainé autant de monde. Nous avons eu un parterre de chefs d’Etat. La quasi-totalité des chefs traditionnels de Côte d’Ivoire était là. Mais grâce à la discipline des Ivoiriens et à la compréhension des uns et des autres, nous avons su mener cette activité. Un an après, je constate que depuis ce jour, les Ivoiriens se disent ‘’plus jamais ça’’.
Nous sommes sur le chemin difficile de la paix. Nous sommes à la quête perpétuelle de la paix. Nous voyons que la Côte d’Ivoire est au travail et que nos prières se formulent en termes de cohésion sociale et de paix pour que le président de la République investit le 21 mai 2011, puisse utiliser tous les leviers à sa portée pour réussir sa mission de développement. Aujourd’hui les habitants de Yamoussoukro sentent un nouvel élan de cohésion, de solidarité et de sécurité retrouvée.
Parce qu’à un moment donné, nous avions quitté nos maisons et changé de domicile chaque semaine pour sauver nos vies. Mais aujourd’hui, on dort tranquille. C’est déjà le résultat de cette investiture. Mais c’est un nouvel élan que la Côte d’Ivoire a amorcé. (…) Nous souhaitons que les promesses qui ont été faites à Yamoussoukro voient le jour. C’est-à-dire, le transfert effectif de la capitale à Yamoussoukro et le chef de l’Etat qui doit y résider. Nous pensons que l’espoir est permis.
YMA
Nous sommes sur le chemin difficile de la paix. Nous sommes à la quête perpétuelle de la paix. Nous voyons que la Côte d’Ivoire est au travail et que nos prières se formulent en termes de cohésion sociale et de paix pour que le président de la République investit le 21 mai 2011, puisse utiliser tous les leviers à sa portée pour réussir sa mission de développement. Aujourd’hui les habitants de Yamoussoukro sentent un nouvel élan de cohésion, de solidarité et de sécurité retrouvée.
Parce qu’à un moment donné, nous avions quitté nos maisons et changé de domicile chaque semaine pour sauver nos vies. Mais aujourd’hui, on dort tranquille. C’est déjà le résultat de cette investiture. Mais c’est un nouvel élan que la Côte d’Ivoire a amorcé. (…) Nous souhaitons que les promesses qui ont été faites à Yamoussoukro voient le jour. C’est-à-dire, le transfert effectif de la capitale à Yamoussoukro et le chef de l’Etat qui doit y résider. Nous pensons que l’espoir est permis.
YMA