Le père fondateur du maracana s’est vu coiffer par son fils au poteau de la première compétition africaine. Le Togo a « chipolopolo (battu) » la Côte d’Ivoire et a remporté la première CAN au nez et à la barbe des Eléphants maracaniers. Une défaite qui remet au gout du jour la légèreté avec laquelle la sélection nationale a été faite. Nous le faisions remarquer, cette équipe qui a porté les couleurs ivoiriennes n’avait aucun joueur du nouveau champion de Côte d’Ivoire. Le résultat devrait-il surprendre ? Pas vraiment. Le père du maracana a tout simplement offert l’épée au fils (Togo) pour le décapiter. Il faut de ressaisir pour ne pas que cette erreur de la sélection naissante ne devienne congénitale.
KL
KL