De nombreux Ivoiriens doivent se tourner vers l’hévéaculture. C’est ce que pense Tapé Etienne, président de la société Kanji, spécialisée dans la promotion de l’hévéaculture. Au cours d’un point de presse tenu, récemment, à la bourse du travail de Treichville, il a expliqué que cette culture pérenne dure plus de trente ans et assure donc une retraite confortable. Selon lui, plus les années passent, plus l’investissement rapporte, car les arbres produisent deux fois plus de tasses de latex après la vingtième année.
Selon le président de cette structure, Tapé Etienne, l’hévéaculture reste le moyen sûr et efficace de lutter contre la pauvreté et le chômage. Aussi, pense-t-il qu’il est important de faire connaître cette culture aux populations ivoiriennes afin qu’elles s’y investissent. L’objectif étant, dit-il, d’atteindre 300.000 ha dans les huit années à venir, contre 175.000 ha actuellement. « La Côte d’Ivoire est en train de devenir un pays producteur de caoutchouc. En quelques années, la production ivoirienne de caoutchouc naturel a considérablement augmenté. Elle est aujourd’hui de 300.000 tonnes environ », a-t-il dit.
Djè Abel
Selon le président de cette structure, Tapé Etienne, l’hévéaculture reste le moyen sûr et efficace de lutter contre la pauvreté et le chômage. Aussi, pense-t-il qu’il est important de faire connaître cette culture aux populations ivoiriennes afin qu’elles s’y investissent. L’objectif étant, dit-il, d’atteindre 300.000 ha dans les huit années à venir, contre 175.000 ha actuellement. « La Côte d’Ivoire est en train de devenir un pays producteur de caoutchouc. En quelques années, la production ivoirienne de caoutchouc naturel a considérablement augmenté. Elle est aujourd’hui de 300.000 tonnes environ », a-t-il dit.
Djè Abel
