Le Grand Port Maritime de Rouen (GPMR) et l’Union Portuaire Rouennaise reviennent en Côte d’Ivoire, pour renouer et renforcer leurs liens commerciaux avec les opérateurs économiques ivoiriens. Telle est l’information officielle dont nous avons reçu copie. Selon Martin Butruille, directeur des trafics et de l’activité portuaire du Grand Port Maritime de Rouen, par ailleurs directeur de la communication, l’objectif de cette mission commerciale sur les bords de la Lagune Ebrié s’inscrit dans le cadre du réchauffement des relations avec les partenaires ivoiriens. «Le port en termes de trafics conteneurisés, est une véritable noria de navires qui relie Rouen à Abidjan, grâce à 24 départs en moyenne par mois, soit pratiquement un navire par jour ouvrable», a-t-il souligné. Pour ce qui concerne l’importation, Martin Butruille a indiqué que le GPMR traite de tout type de marchandises en provenance de Côte d’Ivoire. Selon lui, le cacao est reçu en grande quantité à Rouen (16000 tonnes en 2011) et alimente 2 usines de fabrication de produits chocolatés et dérivés situées à proximité immédiate des quais.
A en croire le directeur de communication, des services conventionnels performants opèrent principalement dans des secteurs agroalimentaires comme les céréales, les sucres, les farines et les malts. Rouen est également connecté de façon significative à San Pedro (2ème port de Côte d’Ivoire) avec 10 liaisons par mois. «Les résultats de Rouen sur la Côte d’Ivoire sont de l’ordre de 150 000 t par an. Ils ne peuvent que progresser, avec la stabilité économique : ce chiffre peut doubler très facilement, les échanges agroalimentaires représentent 75% de ce total et les marchandises diverses 25%», a-t-il estimé. «Après avoir établi en 2010 un record historique de trafic de 26,7 millions de tonnes, le Port de Rouen a, malgré la crise économique, achevé l’année 2011 sur un tonnage de 25,4 millions de tonnes. Hors céréales, le trafic rouennais a progressé de 1,3 % par rapport à 2010 tandis que les marchandises diverses affichaient une hausse de 2,2 % » a-t-il poursuivi. C’est fort de toutes ces potentialités que le GPMR vient à la rencontre de la Côte d’Ivoire, pour un partenariat gagnant-gagnant.
Armand K
A en croire le directeur de communication, des services conventionnels performants opèrent principalement dans des secteurs agroalimentaires comme les céréales, les sucres, les farines et les malts. Rouen est également connecté de façon significative à San Pedro (2ème port de Côte d’Ivoire) avec 10 liaisons par mois. «Les résultats de Rouen sur la Côte d’Ivoire sont de l’ordre de 150 000 t par an. Ils ne peuvent que progresser, avec la stabilité économique : ce chiffre peut doubler très facilement, les échanges agroalimentaires représentent 75% de ce total et les marchandises diverses 25%», a-t-il estimé. «Après avoir établi en 2010 un record historique de trafic de 26,7 millions de tonnes, le Port de Rouen a, malgré la crise économique, achevé l’année 2011 sur un tonnage de 25,4 millions de tonnes. Hors céréales, le trafic rouennais a progressé de 1,3 % par rapport à 2010 tandis que les marchandises diverses affichaient une hausse de 2,2 % » a-t-il poursuivi. C’est fort de toutes ces potentialités que le GPMR vient à la rencontre de la Côte d’Ivoire, pour un partenariat gagnant-gagnant.
Armand K