La fin de la crise postélectorale et la reprise rapide de l’activité économique a eu des effets positifs sur le secteur privé en Côte d’Ivoire. Le bilan positif de Unilever Côte d’Ivoire en témoigne. En effet, au terme de son assemblée générale tenue le vendredi 8 juin 2012, le Président-directeur général de la société, David Mureithi, a déclaré avoir réalisé un chiffre d’affaires de plus de 82 milliards de FCFA au titre de l’exercice 2011 contre 79 milliards de FCFA à fin 2010, soit une croissance de 3,77%.
Le PDG de la société justifie cette croissance par le fait de la reprise rapide de l’activité économique depuis la fin de la crise postélectorale et surtout des efforts du gouvernement ivoirien ayant permis d’améliorer le climat des affaires en Côte d’Ivoire. Réaffirmant son engagement à poursuivre ses activités en Côte d’Ivoire, David Mureithi a annoncé un investissement de 6 millions d’euros (3,9 milliards de FCFA), dans divers secteurs, dont l’enjeu est d’augmenter le niveau des investissements sur ses différentes marques. Néanmoins, face aux menaces de la contrefaçon, le PDG promet de ne pas baisser la garde. Car, si les choses se passent beaucoup mieux en Côte d’Ivoire, il n’en est pas moins pour les autres pays de la sous-région où la contrefaçon semble s’enraciner. Au titre des soucis, David Mureithi a déploré l’absence de liquidités sur le marché, ce qui complique quelquefois la tâche à certains fournisseurs. Son souhait est qu’une solution soit trouvée d’ici fin 2012.
HK
Le PDG de la société justifie cette croissance par le fait de la reprise rapide de l’activité économique depuis la fin de la crise postélectorale et surtout des efforts du gouvernement ivoirien ayant permis d’améliorer le climat des affaires en Côte d’Ivoire. Réaffirmant son engagement à poursuivre ses activités en Côte d’Ivoire, David Mureithi a annoncé un investissement de 6 millions d’euros (3,9 milliards de FCFA), dans divers secteurs, dont l’enjeu est d’augmenter le niveau des investissements sur ses différentes marques. Néanmoins, face aux menaces de la contrefaçon, le PDG promet de ne pas baisser la garde. Car, si les choses se passent beaucoup mieux en Côte d’Ivoire, il n’en est pas moins pour les autres pays de la sous-région où la contrefaçon semble s’enraciner. Au titre des soucis, David Mureithi a déploré l’absence de liquidités sur le marché, ce qui complique quelquefois la tâche à certains fournisseurs. Son souhait est qu’une solution soit trouvée d’ici fin 2012.
HK