L’opération de recensement et d’identification des étudiants est à sa phase d’enrôlement biométrique. Cette seconde étape qui fait suite au recensement en ligne de 61000 étudiants, a été lancée le lundi 11 juin 2012 par le directeur de cabinet du ministère de l’Enseignement supérieur, le Pr Edmée Mansilla Abouattier.
Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, avec à sa tête Cissé Ibrahim Bacongo, est à pied d’œuvre pour honorer l’engagement du gouvernement à rouvrir les universités publiques le lundi 03 septembre 2012. En prélude à cette réouverture, les étudiants sont appelés à se faire identifier de manière physique. Sur financement du Programme présidentiel d’urgence, cette étape d’enrôlement biométrique sera exécutée pendant un mois dans les scolarités centrales des universités, par l'agence Morpho Albatros, retenu suite à un appel d’offres de la direction des marchés publics. A en croire le Pr Abouattier, qui était hier face à la presse au cabinet du ministère de tutelle sis au Plateau, cette deuxième phase dite d’identification physique ou d’enrôlement biométrique prendra en compte la fiche validée issue de la phase de recensement en ligne et aura pour résultat la mise à disposition d’une base de données biométriques. Et ce, après l’inscription en ligne qui a permis l’identification de 60.000 étudiants sur les 100.000 ciblés. «L’un des piliers de la bonne gouvernance repose sur des statistiques fiables qui permettent de planifier en vue d’une gestion efficace, pour rompre avec un passé déshonorant. C’est pour cette raison que nous attachons un prix à cette opération qui, permettra, à terme de maitriser l’effectif des étudiants et de mettre à disposition des universités une base de données fiable et sécurisée», a-t-elle précisé. Au titre du mode opératoire, Koné Tiémoman, directeur de l’information scientifique et technologique a indiqué que du 11 juin au 11 juillet, se tient l’installation et la configuration des serveurs pour le recueil des données biométriques. «La base de données biométriques sera confrontée avec celle des administrations des universités. Ce qui permettra d’éviter les doublons. Puis, nous lançons l’inscription des étudiants qui leur permettra de disposer d’une carte électronique sécurisée et multi-service», a-t-il déclaré
M Tié Traoré
Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, avec à sa tête Cissé Ibrahim Bacongo, est à pied d’œuvre pour honorer l’engagement du gouvernement à rouvrir les universités publiques le lundi 03 septembre 2012. En prélude à cette réouverture, les étudiants sont appelés à se faire identifier de manière physique. Sur financement du Programme présidentiel d’urgence, cette étape d’enrôlement biométrique sera exécutée pendant un mois dans les scolarités centrales des universités, par l'agence Morpho Albatros, retenu suite à un appel d’offres de la direction des marchés publics. A en croire le Pr Abouattier, qui était hier face à la presse au cabinet du ministère de tutelle sis au Plateau, cette deuxième phase dite d’identification physique ou d’enrôlement biométrique prendra en compte la fiche validée issue de la phase de recensement en ligne et aura pour résultat la mise à disposition d’une base de données biométriques. Et ce, après l’inscription en ligne qui a permis l’identification de 60.000 étudiants sur les 100.000 ciblés. «L’un des piliers de la bonne gouvernance repose sur des statistiques fiables qui permettent de planifier en vue d’une gestion efficace, pour rompre avec un passé déshonorant. C’est pour cette raison que nous attachons un prix à cette opération qui, permettra, à terme de maitriser l’effectif des étudiants et de mettre à disposition des universités une base de données fiable et sécurisée», a-t-elle précisé. Au titre du mode opératoire, Koné Tiémoman, directeur de l’information scientifique et technologique a indiqué que du 11 juin au 11 juillet, se tient l’installation et la configuration des serveurs pour le recueil des données biométriques. «La base de données biométriques sera confrontée avec celle des administrations des universités. Ce qui permettra d’éviter les doublons. Puis, nous lançons l’inscription des étudiants qui leur permettra de disposer d’une carte électronique sécurisée et multi-service», a-t-il déclaré
M Tié Traoré
