Les autorités et les populations de Grand-Bassam, ville située à 25 km au sud d'Abidjan, se réjouissent de l'inscription de la cité historique au patrimoine mondial de l'UNESCO.
Pour le préfet du département, Bernard Gninia, il s'agit d'un honneur qui rejaillit sur toute la Côte d'Ivoire qui attendait de tout voeu cet événement.
"C'est à Grand Bassam que l'on trouve les vestiges de la Côte d'ivoire. L'on y trouve par exemple le palais du gouverneur et le premier tribunal du pays où des hommes politiques avaient été jugés en 1946. C'est de ce procès qu'est part la marche historique des femmes", a expliqué M. Gninia.
Pour Hervé Ekra, archiviste, cette admission au patrimoine de l'UNESCO se présente comme une reconnaissance de la valeur de ce site qui se trouve être la mémoire du pays.
"Il faut s'attendre à un développement du tourisme car beaucoup de personnes viendront désormais visiter Grand-Bassam", a noté pour sa part Dramane Koné, artisan, faisant par ailleurs état d'une opportunité pour le développement de l'artisanat, l'une des principales activités de la ville.
La décision d'admettre Grand-Bassam au rang des sites classés au patrimoine mondial de l'UNESCO a été prise lors d'une rencontre de cette organisation en Russie.
Avec l'admission de ce site, la Côte d'Ivoire rejoint la liste des 936 valeurs universelles exceptionnelles.
Les autorités ivoiriennes ont commencé les négociations pour cette appartenance depuis 1998.
Un comité avait été mis en place pour proposer la ville de Grand-Bassam en tenant compte de l'héritage culturel de la ville et de son authenticité.
Selon des experts, les sites classés au patrimoine mondial de l'UNESCO sont considérés comme des trésors pour l'humanité.
Pour le préfet du département, Bernard Gninia, il s'agit d'un honneur qui rejaillit sur toute la Côte d'Ivoire qui attendait de tout voeu cet événement.
"C'est à Grand Bassam que l'on trouve les vestiges de la Côte d'ivoire. L'on y trouve par exemple le palais du gouverneur et le premier tribunal du pays où des hommes politiques avaient été jugés en 1946. C'est de ce procès qu'est part la marche historique des femmes", a expliqué M. Gninia.
Pour Hervé Ekra, archiviste, cette admission au patrimoine de l'UNESCO se présente comme une reconnaissance de la valeur de ce site qui se trouve être la mémoire du pays.
"Il faut s'attendre à un développement du tourisme car beaucoup de personnes viendront désormais visiter Grand-Bassam", a noté pour sa part Dramane Koné, artisan, faisant par ailleurs état d'une opportunité pour le développement de l'artisanat, l'une des principales activités de la ville.
La décision d'admettre Grand-Bassam au rang des sites classés au patrimoine mondial de l'UNESCO a été prise lors d'une rencontre de cette organisation en Russie.
Avec l'admission de ce site, la Côte d'Ivoire rejoint la liste des 936 valeurs universelles exceptionnelles.
Les autorités ivoiriennes ont commencé les négociations pour cette appartenance depuis 1998.
Un comité avait été mis en place pour proposer la ville de Grand-Bassam en tenant compte de l'héritage culturel de la ville et de son authenticité.
Selon des experts, les sites classés au patrimoine mondial de l'UNESCO sont considérés comme des trésors pour l'humanité.