Abidjan – Les partenaires techniques et financiers de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa) ont annoncé, au terme d’une table ronde tenue lundi et mardi à Abidjan, une contribution de 2.035 milliards de FCFA pour le financement du second volet du programme économique régional (PER) de l’union, soit 46% du coût total estimé 4.400 milliards.
Selon le communiqué final des discussions avec les bailleurs de fonds, des intentions de financement et d’assistance technique complémentaire non encore évaluée ont été enregistrées notamment dans les domaines de la gouvernance, l’agriculture, la santé et des infrastructures routières et énergétiques.
Le PER/Uemoa, évalué à 5.763 milliards de FCFA sur la période 2012-2016, ambitionne, dans sa mise en œuvre, de créer plus de 200.000 emplois directs par an dans le huit Etats membres.
Le portefeuilles du PER-II porte sur 102 projets intégrateurs et comprend 45 projets reconduits. Il est également prévu 57 nouveaux projets, répartis dans les cinq axes stratégiques, à savoir le renforcement de la cohésion sociale et territoriale, la consolidation de la gouvernance et l’approfondissement de l’intégration économique, le développement des infrastructures économiques, l’appui à l’émergence d’un appareil productif performant, durable et intégré, le développement des ressources humaines, la mise en place d’un partenariat pour la mobilisation des ressources et le suivi/évaluation, souligne-t-on.
Selon le communiqué final des discussions avec les bailleurs de fonds, des intentions de financement et d’assistance technique complémentaire non encore évaluée ont été enregistrées notamment dans les domaines de la gouvernance, l’agriculture, la santé et des infrastructures routières et énergétiques.
Le PER/Uemoa, évalué à 5.763 milliards de FCFA sur la période 2012-2016, ambitionne, dans sa mise en œuvre, de créer plus de 200.000 emplois directs par an dans le huit Etats membres.
Le portefeuilles du PER-II porte sur 102 projets intégrateurs et comprend 45 projets reconduits. Il est également prévu 57 nouveaux projets, répartis dans les cinq axes stratégiques, à savoir le renforcement de la cohésion sociale et territoriale, la consolidation de la gouvernance et l’approfondissement de l’intégration économique, le développement des infrastructures économiques, l’appui à l’émergence d’un appareil productif performant, durable et intégré, le développement des ressources humaines, la mise en place d’un partenariat pour la mobilisation des ressources et le suivi/évaluation, souligne-t-on.