Après Pierre-Claver Babo, agent territorial au Conseil régional Nord Pas de Calais (Lille) qui a mis sur pied l’Agence de coopération Lille-Afrique (ACOLAF) pour favoriser les relations entre élus français et leurs homologues ivoiriens, Anne-Marie Ediké, est une ivoirienne naturalisée française qui a créé le Centre international de gestion de logistique (CIGL), société de transport international, affrètement, logistique, Import-Export, commerce international, Négoce. Une aubaine ou encore ‘’la solution transport’’ pour tous les Africains en difficultés.
Anne-Marie Ediké est ivoiro-française et réside à Flandre à Lille. Elle a créé une société de droit français qui exerce dans le transport international, affrètement, logistique, import-export, commerce international et négoce, le CIGL. Qui dispose d’un bureau au Nord Pas de Calais, avenue de Flandre, Croix (Lille) et dans la région parisienne, 12, rue des Noël Gennevilliers. Cette société de l’ivoiro-française, surnommée par les Ivoiriens ‘’la bonne samaritaine’’ ou encore la femme qui a ‘’la main sur le cœur’’, transporte, échange et vend toutes marchandises en toutes tranquillités à travers le monde entier : Afrique, Asie, Amérique, Europe. Elle a développé avec beaucoup de maestria les activités du CIGL dans les domaines routier, maritime, aérien, fluvial et ferroviaire, central d’achat, groupage, conteneurs, location de véhicules, lettres, colis et bagages. Ces partenaires dans l’hexagone sont des transporteurs, entreprises, commerçants et particuliers. Pour le groupage maritime, a-t-elle soutenu devant la presse privée ivoirienne en formation à l’Ecole supérieure de journalisme à Lille (avril-mai 2012), les marchandises sont livrées et dédouanées avant les destinataires par sa société de droit français dans différents pays d’Afrique, d’Asie, d’Amérique et d’Europe. Aujourd’hui, dit-elle, elle dispose d’une trentaine de conteneurs après avoir commencé petitement.
Elle dit avoir rompu avec le mauvais cliché du transitaire qui fait perdre les colis ou dont les bagages n’arrivent jamais à destination. De nos jours, son entreprise dessert sans incidents avec les clients la Côte d’Ivoire, le Sénégal, le Mali via le Burkina Faso, la Chine et plusieurs capitales africaines. Mais ce qui fait d’Anne-Marie Ediké ‘’la bonne Samaritaine’’, ce sont les services qu’elle rend sans demander une compensation financière à ses compatriotes out tout autre africain résidant dans l’Hexagone qui éprouve des difficultés à transporter ou envoyer bagages, colis au pays. Anne-Marie Ediké est toujours prête à faire parler son cœur. Elle est une chance pour tous les Africains qui ont des surplus de bagages ou qui ne peuvent pas envoyer des colis à des parents restés au pays.
Maxime Wangué
Anne-Marie Ediké est ivoiro-française et réside à Flandre à Lille. Elle a créé une société de droit français qui exerce dans le transport international, affrètement, logistique, import-export, commerce international et négoce, le CIGL. Qui dispose d’un bureau au Nord Pas de Calais, avenue de Flandre, Croix (Lille) et dans la région parisienne, 12, rue des Noël Gennevilliers. Cette société de l’ivoiro-française, surnommée par les Ivoiriens ‘’la bonne samaritaine’’ ou encore la femme qui a ‘’la main sur le cœur’’, transporte, échange et vend toutes marchandises en toutes tranquillités à travers le monde entier : Afrique, Asie, Amérique, Europe. Elle a développé avec beaucoup de maestria les activités du CIGL dans les domaines routier, maritime, aérien, fluvial et ferroviaire, central d’achat, groupage, conteneurs, location de véhicules, lettres, colis et bagages. Ces partenaires dans l’hexagone sont des transporteurs, entreprises, commerçants et particuliers. Pour le groupage maritime, a-t-elle soutenu devant la presse privée ivoirienne en formation à l’Ecole supérieure de journalisme à Lille (avril-mai 2012), les marchandises sont livrées et dédouanées avant les destinataires par sa société de droit français dans différents pays d’Afrique, d’Asie, d’Amérique et d’Europe. Aujourd’hui, dit-elle, elle dispose d’une trentaine de conteneurs après avoir commencé petitement.
Elle dit avoir rompu avec le mauvais cliché du transitaire qui fait perdre les colis ou dont les bagages n’arrivent jamais à destination. De nos jours, son entreprise dessert sans incidents avec les clients la Côte d’Ivoire, le Sénégal, le Mali via le Burkina Faso, la Chine et plusieurs capitales africaines. Mais ce qui fait d’Anne-Marie Ediké ‘’la bonne Samaritaine’’, ce sont les services qu’elle rend sans demander une compensation financière à ses compatriotes out tout autre africain résidant dans l’Hexagone qui éprouve des difficultés à transporter ou envoyer bagages, colis au pays. Anne-Marie Ediké est toujours prête à faire parler son cœur. Elle est une chance pour tous les Africains qui ont des surplus de bagages ou qui ne peuvent pas envoyer des colis à des parents restés au pays.
Maxime Wangué
