L’ambassadeur Jacques Anouma est candidat à la présidence de la Confédération africaine de football (Caf). Il vient de demander officiellement le parrainage de la Fédération ivoirienne de football (Fif). En attendant que la Fif lui accorde son parrainage, il paraît très important de démontrer pourquoi l’ex-président de l’organe suprême du football ivoirien mérite de prendre la direction de l’instance suprême du football africain.
Cela fait un peu plus de trente ans que Jacques Anouma est au quotidien dans la gestion du football. Il a commencé cette gestion à l’Asec Mimosas en tant que trésorier. Ensuite il s’est retrouvé à la FIF pour travailler aux côtés du président d’alors, Dieng Ousseynou, avant de prendre la tête de cet organe. On connait le résultat de son travail. Il a organisé le football ivoirien au plan structurel. De la troisième division à la Ligue 1 en passant par la Ligue 2, les différents championnats ont été régulièrement organisés. En cela, on reconnait à la Côte d’Ivoire, l’un des pays ayant un bon championnat. Il a assaini l’administration de la Fif. Les clubs ont eu des subventions pour participer à ces championnats. Les championnats «Elites jeunes» et les championnats du football féminin n’ont pas été non plus négligés. Ils se sont déroulés régulièrement. Le travail des différents centres de formation de football du pays est suivi par les membres de la direction technique nationale. Les entraineurs et arbitres ont régulièrement bénéficié de la formation. Aujourd’hui, des arbitres ivoiriens dont le chef de file est Doué Noumadièz, ont été sélectionnés pour aller au Mondial 2014. Ils ont été aussi régulièrement présents dans les compétitions de la Caf ces derniers temps. Sous son inspiration et avec l’appui de l’Etat, comme cela se fait un peu partout, Jacques Anouma a engagé des entraineurs de qualité pour encadrer l’équipe nationale senior. Aussi, de gros moyens ont-ils été dégagés pour mettre à la disposition de ces entraineurs, des joueurs professionnels pour constituer l’équipe nationale sénior. Il a amené les Ivoiriens à aimer leur équipe nationale. Celle-là même qui, à un moment donné, a été un instrument important pour le rapprochement des Ivoiriens les uns des autres au plus fort de la crise.
Pendant ses deux mandats, Jacques Anouma a donné une grande réputation au football ivoirien. L’équipe nationale de Côte d’Ivoire est crainte par tous ses adversaires, mêmes les plus coriaces. Sous sa direction, la Côte d’Ivoire a joué deux phases finales de la Coupe du monde et une finale de la Can. Avant de quitter la Fif, l’équipe nationale de Côte d’Ivoire était pratiquement qualifiée pour la phase finale de la dernière Can co-organisée par le Gabon et la Guinée- Equatoriale. Grâce à sa gestion qui force respect et admiration, Jacques Anouma n’a pas eu trop de difficulté à entrer dans les instances du football international, telles que la Fifa et la Caf. A deux reprises, il a été élu membre des différents comités exécutifs.
Cette confiance renouvelée des dirigeants du football international n’est-elle pas suffisante pour donner l’ambition à Jacques Anouma de briguer le poste de président de la Caf ? L’heure a sonné pour la Côte d’Ivoire. Avec l’ambassadeur Anouma, l’Afrique doit écrire une nouvelle page du football continental. L’ancien président de la Fif en a la carrure et la vision. Il a le soutien de grands dirigeants du football africain. En aucun cas, le soutien de la FiF et du gouvernement ivoirien ne doit faire défaut. Dans un élan de solidarité et communion totale, Jacques Anouma doit être soutenu et porté à la tête du football africain. Ce sera une grande fierté pour la Côte d’Ivoire.
Ephrem Touboui
Cela fait un peu plus de trente ans que Jacques Anouma est au quotidien dans la gestion du football. Il a commencé cette gestion à l’Asec Mimosas en tant que trésorier. Ensuite il s’est retrouvé à la FIF pour travailler aux côtés du président d’alors, Dieng Ousseynou, avant de prendre la tête de cet organe. On connait le résultat de son travail. Il a organisé le football ivoirien au plan structurel. De la troisième division à la Ligue 1 en passant par la Ligue 2, les différents championnats ont été régulièrement organisés. En cela, on reconnait à la Côte d’Ivoire, l’un des pays ayant un bon championnat. Il a assaini l’administration de la Fif. Les clubs ont eu des subventions pour participer à ces championnats. Les championnats «Elites jeunes» et les championnats du football féminin n’ont pas été non plus négligés. Ils se sont déroulés régulièrement. Le travail des différents centres de formation de football du pays est suivi par les membres de la direction technique nationale. Les entraineurs et arbitres ont régulièrement bénéficié de la formation. Aujourd’hui, des arbitres ivoiriens dont le chef de file est Doué Noumadièz, ont été sélectionnés pour aller au Mondial 2014. Ils ont été aussi régulièrement présents dans les compétitions de la Caf ces derniers temps. Sous son inspiration et avec l’appui de l’Etat, comme cela se fait un peu partout, Jacques Anouma a engagé des entraineurs de qualité pour encadrer l’équipe nationale senior. Aussi, de gros moyens ont-ils été dégagés pour mettre à la disposition de ces entraineurs, des joueurs professionnels pour constituer l’équipe nationale sénior. Il a amené les Ivoiriens à aimer leur équipe nationale. Celle-là même qui, à un moment donné, a été un instrument important pour le rapprochement des Ivoiriens les uns des autres au plus fort de la crise.
Pendant ses deux mandats, Jacques Anouma a donné une grande réputation au football ivoirien. L’équipe nationale de Côte d’Ivoire est crainte par tous ses adversaires, mêmes les plus coriaces. Sous sa direction, la Côte d’Ivoire a joué deux phases finales de la Coupe du monde et une finale de la Can. Avant de quitter la Fif, l’équipe nationale de Côte d’Ivoire était pratiquement qualifiée pour la phase finale de la dernière Can co-organisée par le Gabon et la Guinée- Equatoriale. Grâce à sa gestion qui force respect et admiration, Jacques Anouma n’a pas eu trop de difficulté à entrer dans les instances du football international, telles que la Fifa et la Caf. A deux reprises, il a été élu membre des différents comités exécutifs.
Cette confiance renouvelée des dirigeants du football international n’est-elle pas suffisante pour donner l’ambition à Jacques Anouma de briguer le poste de président de la Caf ? L’heure a sonné pour la Côte d’Ivoire. Avec l’ambassadeur Anouma, l’Afrique doit écrire une nouvelle page du football continental. L’ancien président de la Fif en a la carrure et la vision. Il a le soutien de grands dirigeants du football africain. En aucun cas, le soutien de la FiF et du gouvernement ivoirien ne doit faire défaut. Dans un élan de solidarité et communion totale, Jacques Anouma doit être soutenu et porté à la tête du football africain. Ce sera une grande fierté pour la Côte d’Ivoire.
Ephrem Touboui