L’Asec Mimosas et l’Africa Sports d’Abidjan sont éliminés des compétitions africaines et de la coupe nationale de Côte d’Ivoire. Pour la saison en cours, l’Africa Sports ne jouera pas la Super division, le club perd toute chance de défendre son titre de champion. Et automatiquement aussi le chemin des compétitions africaines. L’Asec Mimosas qui participe à la Super division du championnat national apparaît moins efficace pour être championne de Côte d’ivoire. Aujourd’hui, l’insuccès des deux clubs locomotives du football ivoirien, donne le vertige à leurs dirigeants. Dans ce désastre de résultats, l’Africa Sports remet le couvert, frappé d’une rébellion de l’éthique de gestion où certains supporters ont demandé le départ du président Koné Cheick Oumar, en dehors de tout cadre légal. Sous cette base, l’Africa Sports est encore affaibli. Que le président Koné Cheick Oumar soit mis en cause ou suspecté, c’est bien l’Africa Sports qui est victime, et affaibli. L’Africa Sports d’Abidjan de Simplice Zinsou, de Sidibé en passant par Doré Lacina, est dans le même système d’implosion et d’accumulation d’erreurs des membres associés. Le constat est sévère. Mais, les mêmes erreurs et accumulations résistent au temps, surtout à cause d’une absence d’éducation sportive des membres associés qui ont fait aujourd’hui que l’Africa Sports perde son titre de champion, avec un classement sans suite, en championnat et en coupe nationale .Sans oublier le bras de fer avec la Fif. Preuve que l’Africa Sport et ses supporters montrent les limites de la gestion d’équipe. Honnêtement on ne peut pas « chasser « Koné Cheick Oumar le président légitime, en exercice, sans une procédure légale. L’on ne vient pas au secours du président Koné Cheick Oumar, mais l’on dénonce tout simplement les dysfonctionnements et l’usage abusif des « libertés » internes à l’Africa Sports. Chez les jaune et noir, la situation est aussi alarmante.
L’Asec Mimosas
ne répond plus
L’Asec Mimosas qui avait fait des coupes d’Afrique sa « chose » court aujourd’hui derrière un classement sans suite, sur le plan africain. L’Asec n’est plus celle des entraîneurs Guy Fabre ou Philippe Bernard Troussier. L’Asec Mimosas cuvée 2012 connaît un sale temps. Les techniciens qui viennent chaque saison au chevet du club jaune et noir ne savent que de simples mots de passes. Aujourd’hui, le club ne répond plus, parce qu’il y’a une utilisation anormale du fichier des joueurs, qui fait de l’Asec aujourd’hui, une équipe quelconque. On ne demande pas de répondre à ces critiques. L’on peut tous consulter le fichier des recrutements des joueurs, et le palmarès de l’Asec, depuis 10 ans, dans le cadre des performances de l’équipe. À l’origine, l’Asec ne jouait pas bien et ne pouvait aligner deux victoires successives. Résultat : les Actionnaires sont consternés, découragés ou épuisés. Mais, il ne sert à rien de créer un collectif de résistance pour demander la démission du président Roger Ouégnin. Qu’on le veuille ou non, Roger Ouégnin fait partie du patrimoine de l’Asec. Et c’est lui qui, depuis 1989, a donné une véritable identité de club à l’Asec Mimosas. C’est vrai que l’Asec va mal, mais les actionnaires doivent bien se garder d’aborder une éventuelle démission de Roger Ouégnin, susceptible de favoriser l’accomplissement des plus sombres images de l’Asec Mimosas. En tout état de cause, à l’Asec ou à l’Africa Sports, les supporters doivent raisonner en termes de démarches sportives que la loi envisage, que les équipes, parfois doivent souvent connaître un passage à vide.
Ben Ismaël
L’Asec Mimosas
ne répond plus
L’Asec Mimosas qui avait fait des coupes d’Afrique sa « chose » court aujourd’hui derrière un classement sans suite, sur le plan africain. L’Asec n’est plus celle des entraîneurs Guy Fabre ou Philippe Bernard Troussier. L’Asec Mimosas cuvée 2012 connaît un sale temps. Les techniciens qui viennent chaque saison au chevet du club jaune et noir ne savent que de simples mots de passes. Aujourd’hui, le club ne répond plus, parce qu’il y’a une utilisation anormale du fichier des joueurs, qui fait de l’Asec aujourd’hui, une équipe quelconque. On ne demande pas de répondre à ces critiques. L’on peut tous consulter le fichier des recrutements des joueurs, et le palmarès de l’Asec, depuis 10 ans, dans le cadre des performances de l’équipe. À l’origine, l’Asec ne jouait pas bien et ne pouvait aligner deux victoires successives. Résultat : les Actionnaires sont consternés, découragés ou épuisés. Mais, il ne sert à rien de créer un collectif de résistance pour demander la démission du président Roger Ouégnin. Qu’on le veuille ou non, Roger Ouégnin fait partie du patrimoine de l’Asec. Et c’est lui qui, depuis 1989, a donné une véritable identité de club à l’Asec Mimosas. C’est vrai que l’Asec va mal, mais les actionnaires doivent bien se garder d’aborder une éventuelle démission de Roger Ouégnin, susceptible de favoriser l’accomplissement des plus sombres images de l’Asec Mimosas. En tout état de cause, à l’Asec ou à l’Africa Sports, les supporters doivent raisonner en termes de démarches sportives que la loi envisage, que les équipes, parfois doivent souvent connaître un passage à vide.
Ben Ismaël