Rien qu’à voir le temps pris par la réunion, l’on s’imagine sa densité. Hier, le président de la République, Alassane Ouattara qui dirige le Conseil national de la sécurité et les membres dudit conseil se sont, en effet, retrouvés autour de la table pour passer au peigne fin la situation sécuritaire du pays marquée ces derniers mois par les attaques ciblées contre les FRCI. Il est 16 heures, le Premier ministre, Ahoussou Jeannot, le ministre d’Etat ministre de l’Intérieur, Hamed Bakayoko, le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, Daniel Kablan Ducun, le ministre de l’Economie et des finances, Charles Koffi, le ministre auprès du président de la République, chargé de la Défense, Paul Koffi Koffi, le ministre chargé des affaires présidentielles, Ibrahim Ouattara, le chef d’Etat major général des FRCI, Soumaila Bakayoko, le chef d’Etat major particulier du président de la République, Michel Geu, le commandant supérieur de la gendarmerie, Gervais Kouassi, le directeur général de la police nationale, Brindou M’bia, le secrataire général du conseil, Charles Donwahi, tous membres du Conseil, avec des cartes de la Côte d’Ivoire en main pour ceux qui sont des militaires, sont déjà dans la salle de réunion.
Le président de la République visiblement détendu descend de son bureau quelques instants. La porte de la salle se referme pour ne rouvrir 4 heures après, c’est-à-dire à 20 heures 30 minutes. Selon le communiqué final lu à la fin de la rencontre par le secrétaire général du Conseil, Charles Donwahi, la situation sécuritaire a été au cœur des échanges. Le Conseil a fait, a-t-il dit, un point précis des attaques menées ces derniers mois contre les positions des FRCI, avant de décliner leur nature, leur provenance et surtout leur teneur au chef de l’Etat. Face à cela, le président du Conseil national de la sécurité a décidé d’apporter des moyens additionnels à l’armée nationale pour faire face aux actions de déstabilisation.
Selon une source poche de la réunion, les points à l’ordre du jour ont fait l’objet d’analyses minutieuses afin de prendre des décisions idoines. Les échanges étaient serrés et l’ordre du jour n’a pas pu être épuisé. Rendez-vous a été pris demain pour continuer la réunion qui de toute évidence va aboutir à des grandes décisions.
Le président de la République visiblement détendu descend de son bureau quelques instants. La porte de la salle se referme pour ne rouvrir 4 heures après, c’est-à-dire à 20 heures 30 minutes. Selon le communiqué final lu à la fin de la rencontre par le secrétaire général du Conseil, Charles Donwahi, la situation sécuritaire a été au cœur des échanges. Le Conseil a fait, a-t-il dit, un point précis des attaques menées ces derniers mois contre les positions des FRCI, avant de décliner leur nature, leur provenance et surtout leur teneur au chef de l’Etat. Face à cela, le président du Conseil national de la sécurité a décidé d’apporter des moyens additionnels à l’armée nationale pour faire face aux actions de déstabilisation.
Selon une source poche de la réunion, les points à l’ordre du jour ont fait l’objet d’analyses minutieuses afin de prendre des décisions idoines. Les échanges étaient serrés et l’ordre du jour n’a pas pu être épuisé. Rendez-vous a été pris demain pour continuer la réunion qui de toute évidence va aboutir à des grandes décisions.