Avant le rendez-vous du 03 septembre aux Seychelles à la faveur de la prochaine assemblée générale de la CAF, l’ex-arbitre international devenu commissaire au match se prononce sur Jacques Anouma, candidat à la succession d’Issa Hayatou.
Aboubacar Sharaf, ex-arbitre international ivoirien, se remet dans le jeu. La raison, le projet de modification des textes régissant le fonctionnement de la Confédération africaine de football (CAF) notamment dans les dispositions sur les conditions d’éligibilité à la présidence de la faîtière. Une tentative de tripatouillage au profit du camp Hayatou, soupçonnent de nombreux observateurs. « Je connais les magouilles de la CAF. J’en suis une victime car c’est ce qui justifie que je n’ai pas été retenu pour le Mondial 2006 en Allemagne… Ceux qui l’ont fait se connaissent (certains ne sont plus à la CAF). Je ne dirai pas de noms mais il faut quelqu’un de neuf à la tête de cette grande institution pour une meilleure gestion du football africain. Même s’ils sont animés de mauvaises intentions, les pro-Hayatou actuellement à la CAF sont conscients que le monde entier aura une attention toute particulière durant ces élections. Et après les réactions de certains présidents de Fédérations tels le Sénégal, l’Afrique du Sud et le Burkina Faso, ils vont reculer », a-t-il révélé. Pour lui, Jacques Anouma qui est visé par cette mesure a de réelles chances de tomber « le baobab » de Garoua lors des prochaines élections du 10 mars 2013 au Maroc. « Anouma est un candidat redoutable et Issa Hayatou le sait très bien », jure-t-il. Sûr de son affaire, Aboubacar Sharaf croit savoir que si l’actuel président de la Fédération ivoirienne de football, Augustin Sidy Diallo, tarde encore à valider le parrainage de Jacques Anouma, c’est par simple « stratégie ». Avant d’ajouter : «tout le monde connaît les liens qui lient les deux hommes…». Par ailleurs, Aboubacar Sharaf appelle à soutenir le candidat Anouma en mettant en avant ses grandes qualités humaines et son expérience de grand dirigeant sportif pour changer le visage de la CAF. L’assemblée générale de la Confédération africaine de football (CAF) est prévue le 03 septembre à Victoria, la capitale des Seychelles.
Guy-Florentin Yameogo
Aboubacar Sharaf, ex-arbitre international ivoirien, se remet dans le jeu. La raison, le projet de modification des textes régissant le fonctionnement de la Confédération africaine de football (CAF) notamment dans les dispositions sur les conditions d’éligibilité à la présidence de la faîtière. Une tentative de tripatouillage au profit du camp Hayatou, soupçonnent de nombreux observateurs. « Je connais les magouilles de la CAF. J’en suis une victime car c’est ce qui justifie que je n’ai pas été retenu pour le Mondial 2006 en Allemagne… Ceux qui l’ont fait se connaissent (certains ne sont plus à la CAF). Je ne dirai pas de noms mais il faut quelqu’un de neuf à la tête de cette grande institution pour une meilleure gestion du football africain. Même s’ils sont animés de mauvaises intentions, les pro-Hayatou actuellement à la CAF sont conscients que le monde entier aura une attention toute particulière durant ces élections. Et après les réactions de certains présidents de Fédérations tels le Sénégal, l’Afrique du Sud et le Burkina Faso, ils vont reculer », a-t-il révélé. Pour lui, Jacques Anouma qui est visé par cette mesure a de réelles chances de tomber « le baobab » de Garoua lors des prochaines élections du 10 mars 2013 au Maroc. « Anouma est un candidat redoutable et Issa Hayatou le sait très bien », jure-t-il. Sûr de son affaire, Aboubacar Sharaf croit savoir que si l’actuel président de la Fédération ivoirienne de football, Augustin Sidy Diallo, tarde encore à valider le parrainage de Jacques Anouma, c’est par simple « stratégie ». Avant d’ajouter : «tout le monde connaît les liens qui lient les deux hommes…». Par ailleurs, Aboubacar Sharaf appelle à soutenir le candidat Anouma en mettant en avant ses grandes qualités humaines et son expérience de grand dirigeant sportif pour changer le visage de la CAF. L’assemblée générale de la Confédération africaine de football (CAF) est prévue le 03 septembre à Victoria, la capitale des Seychelles.
Guy-Florentin Yameogo
