Le directeur de cabinet du ministère de l’Agriculture, Coulibaly Siaka, a invité, hier, au cours d’un rencontre d’échanges, à Abidjan-Plateau, le secteur privé à jouer toute sa partition dans la relance du secteur agricole ivoirien. Il s’est agi, pour l’Etat, à ce rendez-vous du "franc-parler" public-privé, d’informer, de sensibiliser et d’écouter les opérateurs économiques et les partenaires au développement pour le succès du Programme national d’investissement agricole (Pnia) et de l’Initiative du G8 pour la sécurité alimentaire et la nutrition. Pour la redynamisation de l’agriculture, le gouvernement ivoirien fait la part belle au secteur privé dont des investissements sont attendus dans le cadre de la mobilisation des fonds (plus de 2000,818 milliards F) pour la mise en œuvre du Pnia. Coulibaly Siaka a rassuré les opérateurs économiques qui ont dit leur volonté de participer à la réussite de la modernisation de ce domaine. Coulibaly Nouhoun, directeur général de la Planification, du contrôle des projets et des statistiques au ministère de l’Agriculture, a fait le point sur le Pnia et l’Initiative G8.
Sans omettre les prochaines étapes. Le Pnia, dira-t-il, a pour objectif : l’amélioration de la productivité et de la compétitivité; le développement des filières agricoles; l’amélioration de la gouvernance dans le secteur; le renforcement des capacités des parties prenantes (Opa); la gestion durable des ressources halieutiques et la relance de la filière bois. Le retour à la terre des populations reste une des priorités de cette action. Les 12 et 13 septembre à Abidjan, une table-ronde aidera à la mise en place d’un mécanisme permanent public-privé. Mme Marie-Noëlle Koyara, représentante de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (Fao), a invité les partenaires techniques et financiers présents à prendre leur place dans l’agrobusiness. Car : «la relance de l’agriculture en Côte d’Ivoire ne servira pas qu’aux Ivoiriens». Le Pnia court jusqu’en 2015 pour son application et nécessite un investissement de 2002,818 milliards F.
Parfait Tadjau
Sans omettre les prochaines étapes. Le Pnia, dira-t-il, a pour objectif : l’amélioration de la productivité et de la compétitivité; le développement des filières agricoles; l’amélioration de la gouvernance dans le secteur; le renforcement des capacités des parties prenantes (Opa); la gestion durable des ressources halieutiques et la relance de la filière bois. Le retour à la terre des populations reste une des priorités de cette action. Les 12 et 13 septembre à Abidjan, une table-ronde aidera à la mise en place d’un mécanisme permanent public-privé. Mme Marie-Noëlle Koyara, représentante de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (Fao), a invité les partenaires techniques et financiers présents à prendre leur place dans l’agrobusiness. Car : «la relance de l’agriculture en Côte d’Ivoire ne servira pas qu’aux Ivoiriens». Le Pnia court jusqu’en 2015 pour son application et nécessite un investissement de 2002,818 milliards F.
Parfait Tadjau