A Toulépleu et Bloléquin, il était difficile de faire le show dans les boîtes de nuit ou night club. En fait, ces deux petites villes n’ont pas grand’chose en la matière. Par contre à Guiglo, une boîte de nuit fait du 24h/24. Résultat, les prostituées et autres filles de joie y affluent abondamment.
Coulisses Publié le jeudi 30 août 2012 | L’intelligent d’Abidjan