Le coach ivoirien, Sabri Lamouchi, s’est inquiété hier, lors du point de presse, du manque d’un excellent gardien en l’absence de Copa Barry.
Suite au match amical contre la Russie, le sélectionneur ivoirien , Sabri Lamouchi, a pu relever les forces et les faiblesses de son équipe. Son effectif, Sabri le voit discipliné et surtout solidaire dans l’effort. Le jeu défensif, longtemps considéré comme étant le plus grand problème de l’équipe, commence à être stable. Seul bémol, le gardien de but. Hier, face aux journalistes, Sabri a été très clair en avouant qu’il a des soucis pour seconder Copa Barry. « Après Copa, je n’ai plus de gardien. C’est la raison pour laquelle j’ai fait appel à quatre gardiens», a-t-il révélé. Le sélectionneur des pachydermes a aussi annoncé, qu’il ira partout à la recherche des derniers remparts, pour les échéances futures. Normal, Copa Barry a été plusieurs fois nominé meilleur gardien du championnat de Belgique et également le meilleur gardien de la dernière Can. Face au Sénégal, Sabri ne veut pas tergiverser. « Il faut aller à l’essentiel, c’est-à-dire gagner » a rassuré le coach. Les coéquipiers de Didier Drogba sont, selon le coach ivoirien, gonflés à bloc pour cette première phase aller des éliminatoires directes consécutives à la coupe d’Afrique des nations. Les Sénégalais ne viennent pas en victime résignée. Le sélectionneur des Lions l’a martelé à plusieurs reprises, puisqu’il mentionne qu’il vient pour vaincre les Eléphants. « Nous voulons remporter la Can. Et tous les obstacles devront être levés pour atteindre cet objectif», a fait savoir le coach sénégalais, en conférence de presse, lors de la publication de la liste de ses 23 joueurs à Dakar. Finaliste de la dernière expédition au Gabon, les Ivoiriens n’ont d’autre alternative que de battre leur hôte sénégalais. Et, selon leur entraineur, les Eléphants sont conscients de leur responsabilité. C’est un duel fratricide entre deux pays frères de l’Afrique Occidentale; mais, au dessus de cette confrontation, il n’y a qu’une seule place à prendre. Au delà de ce match, les Ivoiriens démontreront au peuple frère du Sénégal, leur grande leçon de fair-play fondée sur le légendaire vivre-ensemble.
MAURYTH GBANE
Suite au match amical contre la Russie, le sélectionneur ivoirien , Sabri Lamouchi, a pu relever les forces et les faiblesses de son équipe. Son effectif, Sabri le voit discipliné et surtout solidaire dans l’effort. Le jeu défensif, longtemps considéré comme étant le plus grand problème de l’équipe, commence à être stable. Seul bémol, le gardien de but. Hier, face aux journalistes, Sabri a été très clair en avouant qu’il a des soucis pour seconder Copa Barry. « Après Copa, je n’ai plus de gardien. C’est la raison pour laquelle j’ai fait appel à quatre gardiens», a-t-il révélé. Le sélectionneur des pachydermes a aussi annoncé, qu’il ira partout à la recherche des derniers remparts, pour les échéances futures. Normal, Copa Barry a été plusieurs fois nominé meilleur gardien du championnat de Belgique et également le meilleur gardien de la dernière Can. Face au Sénégal, Sabri ne veut pas tergiverser. « Il faut aller à l’essentiel, c’est-à-dire gagner » a rassuré le coach. Les coéquipiers de Didier Drogba sont, selon le coach ivoirien, gonflés à bloc pour cette première phase aller des éliminatoires directes consécutives à la coupe d’Afrique des nations. Les Sénégalais ne viennent pas en victime résignée. Le sélectionneur des Lions l’a martelé à plusieurs reprises, puisqu’il mentionne qu’il vient pour vaincre les Eléphants. « Nous voulons remporter la Can. Et tous les obstacles devront être levés pour atteindre cet objectif», a fait savoir le coach sénégalais, en conférence de presse, lors de la publication de la liste de ses 23 joueurs à Dakar. Finaliste de la dernière expédition au Gabon, les Ivoiriens n’ont d’autre alternative que de battre leur hôte sénégalais. Et, selon leur entraineur, les Eléphants sont conscients de leur responsabilité. C’est un duel fratricide entre deux pays frères de l’Afrique Occidentale; mais, au dessus de cette confrontation, il n’y a qu’une seule place à prendre. Au delà de ce match, les Ivoiriens démontreront au peuple frère du Sénégal, leur grande leçon de fair-play fondée sur le légendaire vivre-ensemble.
MAURYTH GBANE