«C’est un acte de souveraineté. La fermeture serait liée à des questions de sécurité. Ceci dit, nous n’avons pas tous les éléments pour nous prononcer sur cette fermeture des frontières. Mais, si nous nous en tenons aux termes du communiqué annonçant la fermeture, le Ghana aurait donné son consentement à cette initiative. Dès lors, pour nous, il n’y a pas lieu de s’inquiéter, de s’alarmer. En tant qu’acteur de la société civile, c’est seulement la restriction des mouvements des populations qui nous préoccupe. C’est dommage».
Coulisses Publié le mardi 25 septembre 2012 | Nord-Sud