Dame Bassétou Camara préside désormais aux destinées de la coopérative des femmes du secteur du vivrier de la région du Gbêkê. Elle a été investie le samedi 22 septembre 2012 dernier au palais des carnavals de Bouaké, en présence de nombreuses autorités politiques et administratives.
M. Sy Savané Mohamadou a, d’entrée de jeu indiqué, que la coopérative des femmes est symbolique dans la mesure où celle-ci regorge toutes les sensibilités ethniques et religieuses. Pour lui donc, la mise sur place de cette coopérative est un «symbole du renouveau de la région du Gbêkê après dix années de crise». A l’en croire, les femmes ont prouvé, à travers la création de cette coopérative que les Ivoiriens peuvent amorcer le développement. Le représentant de Mme Kéita née Assita Ouattara a conclu en invitant les uns et les autres à s’unir autour du président de la République afin qu’il réussisse sa mission de réconciliation des Ivoiriens. Selon Mme Kadio, représentant le ministre de l’Agriculture, la nouvelle structure des femmes, qui est désormais membre de la FENACOVI-CI, joue un grand rôle « dans la commercialisation et la distribution des produits vivriers en Côte d’Ivoire et dans la sous-région». Elle a exhorté ces femmes à rester en contact avec le ministère de l’Agriculture afin de bénéficier des projets initiés à leur intention. Pour la présidente de la coopérative des femmes de la région du Gbêkê, nouvellement investie, les objectifs de cette coopérative se résument en la production, l’achat, la commercialisation et la transformation des produits vivriers.
Les femmes ambitionnent donc d’agrandir leurs portions et la productivité. C’est en cela que la présidente fait confiance au président de la République «qui est un homme de parole. Nous souhaitons le soutien du Premier ministre afin que le ministère de l’Agriculture nous assiste en intrants, en semences et le suivi». Car, «nous voulons contribuer à la lutte contre l’insécurité alimentaire». Prenant la parole au nom du Premier ministre ivoirien, Me Ahoussou Kouadio Jeannot, Mme Tchinan Simone a invité les femmes à la formation. «L’engagement et le sérieux de se former sont les gages de la formation de la femme. Après quoi, vous pouvez vous tourner vers la justice et réclamer l’équité», a-t-elle conseillé. La question de l’équité dans les textes de la constitution est «très peu discriminatoire. C’est sur le terrain qu’il y a de la discrimination. Faisons en sorte que nous puissions toujours œuvrer pour le développement de notre pays. Vous êtes les piliers de la survie alimentaire», a-t-elle rappelé aux femmes pour conclure.
Bosco de Paré
M. Sy Savané Mohamadou a, d’entrée de jeu indiqué, que la coopérative des femmes est symbolique dans la mesure où celle-ci regorge toutes les sensibilités ethniques et religieuses. Pour lui donc, la mise sur place de cette coopérative est un «symbole du renouveau de la région du Gbêkê après dix années de crise». A l’en croire, les femmes ont prouvé, à travers la création de cette coopérative que les Ivoiriens peuvent amorcer le développement. Le représentant de Mme Kéita née Assita Ouattara a conclu en invitant les uns et les autres à s’unir autour du président de la République afin qu’il réussisse sa mission de réconciliation des Ivoiriens. Selon Mme Kadio, représentant le ministre de l’Agriculture, la nouvelle structure des femmes, qui est désormais membre de la FENACOVI-CI, joue un grand rôle « dans la commercialisation et la distribution des produits vivriers en Côte d’Ivoire et dans la sous-région». Elle a exhorté ces femmes à rester en contact avec le ministère de l’Agriculture afin de bénéficier des projets initiés à leur intention. Pour la présidente de la coopérative des femmes de la région du Gbêkê, nouvellement investie, les objectifs de cette coopérative se résument en la production, l’achat, la commercialisation et la transformation des produits vivriers.
Les femmes ambitionnent donc d’agrandir leurs portions et la productivité. C’est en cela que la présidente fait confiance au président de la République «qui est un homme de parole. Nous souhaitons le soutien du Premier ministre afin que le ministère de l’Agriculture nous assiste en intrants, en semences et le suivi». Car, «nous voulons contribuer à la lutte contre l’insécurité alimentaire». Prenant la parole au nom du Premier ministre ivoirien, Me Ahoussou Kouadio Jeannot, Mme Tchinan Simone a invité les femmes à la formation. «L’engagement et le sérieux de se former sont les gages de la formation de la femme. Après quoi, vous pouvez vous tourner vers la justice et réclamer l’équité», a-t-elle conseillé. La question de l’équité dans les textes de la constitution est «très peu discriminatoire. C’est sur le terrain qu’il y a de la discrimination. Faisons en sorte que nous puissions toujours œuvrer pour le développement de notre pays. Vous êtes les piliers de la survie alimentaire», a-t-elle rappelé aux femmes pour conclure.
Bosco de Paré