«3G, quels enjeux pour l’Afrique» est le thème central de la 8e édition de Africa télécom people qui réunit depuis hier, tous les acteurs et entreprises de télécommunications au Palais des Congrès de l’Hôtel Ivoire. Organisé grâce à la collaboration de l’entreprise de téléphonie mobile Orange Côte d’Ivoire, ce salon se tient sur deux jours.
A l’ouverture, M Thierry Moungala, ministre des Postes, des télécommunications et des nouvelles technologies de l’information du Congo, a invité les dirigeants africains à aider à l’implantation de la technologie dans leurs différents pays respectifs. Mais pour en arriver là, il a exhorté les pays à mettre les conditions de facilitation dans la balance des opérateurs économiques de ce secteur. «Au Congo, nous avons créé les conditions juridiques, les textes, la réglementation et nous luttons contre les cybercriminalités», a-t-il expliqué. Avant de dire qu’il ne faudrait pas que cela soit une occasion de rançonner les operateurs économiques. Saluant l’organisation de Africa télécom people, le ministre Bruno Nabagné Koné de la Poste et des Tic a souligné que la présence de la technologie en Afrique est une vraie réussite. Car, aujourd’hui, il y a plus de 18 millions d’abonnés en Côte d’Ivoire là où le téléphone fixe compte 200 mille abonnés. C’est pourquoi, selon lui, au regard des enjeux de la technologie, les Etats doivent prendre leur responsabilité, en créant des réseaux locaux, en procédant à la défiscalisation et à la formation des cadres et ingénieurs.
Le Secrétaire général de l’Union internationale des télécommunications (Uit), Hamadoum Touré invité, n’a pu effectuer le déplacement. Son message a été projeté par diapo. Ce denier a exhorté les dirigeants des entreprises de téléphonie mobile à s’approprier Africa télécom people.
En fait, Africa Télécom people est un événement qui se tient en trois phases. A savoir l’exposition, le meeting et la soirée awards. L’objectif de cette manifestation est de permettre à Africa Télécom people, entre autres, à être majeur sur 3G en Afrique, à avoir des participants de qualité afin que les entreprises africaines nouent des partenariats sérieux et à renforcer l’image de marque d’Atp.
Renaud Djatchi
A l’ouverture, M Thierry Moungala, ministre des Postes, des télécommunications et des nouvelles technologies de l’information du Congo, a invité les dirigeants africains à aider à l’implantation de la technologie dans leurs différents pays respectifs. Mais pour en arriver là, il a exhorté les pays à mettre les conditions de facilitation dans la balance des opérateurs économiques de ce secteur. «Au Congo, nous avons créé les conditions juridiques, les textes, la réglementation et nous luttons contre les cybercriminalités», a-t-il expliqué. Avant de dire qu’il ne faudrait pas que cela soit une occasion de rançonner les operateurs économiques. Saluant l’organisation de Africa télécom people, le ministre Bruno Nabagné Koné de la Poste et des Tic a souligné que la présence de la technologie en Afrique est une vraie réussite. Car, aujourd’hui, il y a plus de 18 millions d’abonnés en Côte d’Ivoire là où le téléphone fixe compte 200 mille abonnés. C’est pourquoi, selon lui, au regard des enjeux de la technologie, les Etats doivent prendre leur responsabilité, en créant des réseaux locaux, en procédant à la défiscalisation et à la formation des cadres et ingénieurs.
Le Secrétaire général de l’Union internationale des télécommunications (Uit), Hamadoum Touré invité, n’a pu effectuer le déplacement. Son message a été projeté par diapo. Ce denier a exhorté les dirigeants des entreprises de téléphonie mobile à s’approprier Africa télécom people.
En fait, Africa Télécom people est un événement qui se tient en trois phases. A savoir l’exposition, le meeting et la soirée awards. L’objectif de cette manifestation est de permettre à Africa Télécom people, entre autres, à être majeur sur 3G en Afrique, à avoir des participants de qualité afin que les entreprises africaines nouent des partenariats sérieux et à renforcer l’image de marque d’Atp.
Renaud Djatchi
