A quelques jours du match retour qualificatif pour la Coupe d’Afrique des nations de football 2013 entre le Sénégal et la Côte d’Ivoire, le Général Edouard Kassaraté, ambassadeur de Côte d’Ivoire au Sénégal, lance un appel à ses compatriotes vivant au Sénégal, au Cap Vert, en Gambie et en Mauritanie.
Notre Voie : Excellence, avant le match retour Sénégal-Côte d’Ivoire comptant pour le dernier éliminatoire de la CAN 2013, quelle est l’atmosphère à Dakar ?
Edouard Kassaraté : Vous savez que le football soulève des passions. Donc, à quelques jours de ce match retour, la tension monte. Chaque pays voudra avoir la victoire. C’est pourquoi je suis venu lancer un appel patriotique à nos frères qui sont au Sénégal, en Mauritanie, au Cap Vert et en Gambie de venir comme un seul homme soutenir l’équipe nationale de Côte d’Ivoire. Le match est capital pour les deux pays et comme vous le savez, il y a le principe de la réciprocité. J’ai rassuré les autorités sénégalaises qu’au match aller, il n’y aurait pas de problème. Effectivement, il n’y a pas eu de problème. Il n’y a donc pas de raison qu’au match retour, nous n’ayons pas le retour de l’ascenseur. Il n’y a pas à craindre, il faut seulement venir supporter son équipe.
N.V : On sait qu’il y a beaucoup de Sénégalais en Côte d’Ivoire, mais y a-t-il beaucoup d’Ivoiriens au Sénégal ?
E.K : Peut-être que les Sénégalais sont plus nombreux que les Ivoiriens au Sénégal, mais il y a quand même près de 8.000 Ivoiriens au Sénégal. Quand on y ajoute ceux qui sont en Gambie, en Mauritanie et au Cap Vert, ça fait un bon paquet qui peut soutenir notre équipe.
N.V : Et vous pensez qu’ils pourront venir supporter tranquillement leur équipe ?
E.K : Je ne le pense pas, je suis même certain. En tant que général, j’ai pris toutes les dispositions avec les autorités sénégalaises pour que tout se passe bien. Et je pense que tout va bien se passer.
N.V : Au niveau pratique, y a-t-il des zones réservées aux Ivoiriens dans les tribunes ?
E.K : Il y a près de 1.000 places réservées aux Ivoiriens. Et nous veillerons à ce qu’il en soit ainsi. Enfin, je voudrais dire : Allez les Eléphants, tranquillement, sûrement. Et il faut qu’on ait la victoire avec la manière.
Interview réalisée par Augustin Kouyo
Notre Voie : Excellence, avant le match retour Sénégal-Côte d’Ivoire comptant pour le dernier éliminatoire de la CAN 2013, quelle est l’atmosphère à Dakar ?
Edouard Kassaraté : Vous savez que le football soulève des passions. Donc, à quelques jours de ce match retour, la tension monte. Chaque pays voudra avoir la victoire. C’est pourquoi je suis venu lancer un appel patriotique à nos frères qui sont au Sénégal, en Mauritanie, au Cap Vert et en Gambie de venir comme un seul homme soutenir l’équipe nationale de Côte d’Ivoire. Le match est capital pour les deux pays et comme vous le savez, il y a le principe de la réciprocité. J’ai rassuré les autorités sénégalaises qu’au match aller, il n’y aurait pas de problème. Effectivement, il n’y a pas eu de problème. Il n’y a donc pas de raison qu’au match retour, nous n’ayons pas le retour de l’ascenseur. Il n’y a pas à craindre, il faut seulement venir supporter son équipe.
N.V : On sait qu’il y a beaucoup de Sénégalais en Côte d’Ivoire, mais y a-t-il beaucoup d’Ivoiriens au Sénégal ?
E.K : Peut-être que les Sénégalais sont plus nombreux que les Ivoiriens au Sénégal, mais il y a quand même près de 8.000 Ivoiriens au Sénégal. Quand on y ajoute ceux qui sont en Gambie, en Mauritanie et au Cap Vert, ça fait un bon paquet qui peut soutenir notre équipe.
N.V : Et vous pensez qu’ils pourront venir supporter tranquillement leur équipe ?
E.K : Je ne le pense pas, je suis même certain. En tant que général, j’ai pris toutes les dispositions avec les autorités sénégalaises pour que tout se passe bien. Et je pense que tout va bien se passer.
N.V : Au niveau pratique, y a-t-il des zones réservées aux Ivoiriens dans les tribunes ?
E.K : Il y a près de 1.000 places réservées aux Ivoiriens. Et nous veillerons à ce qu’il en soit ainsi. Enfin, je voudrais dire : Allez les Eléphants, tranquillement, sûrement. Et il faut qu’on ait la victoire avec la manière.
Interview réalisée par Augustin Kouyo