Créer un million d’emplois à l`horizon 2015. Cette promesse électorale du président de la République, Alassane Ouattara, est en train d’entrer dans sa phase active. Elle a été matérialisée le mardi 9 octobre 2012 au Centre de métier de l’électricité de Bingerville avec la signature de convention de partenariat entre la Compagnie ivoirienne de l’électricité (CIE) et le Pejedec (Projet emploi jeune et développement des compétences).
La convention signée entre la Compagnie ivoirienne d’électricité CIE et le Pejedec (Projet emploi jeune et développement des compétences) vise la formation de 36 jeunes ivoiriens comme électriciens de branchement (BTA), 45 pour le contrôle d’étude et suivi des travaux électriques, 144 jeunes au métier d’électriciens d’une petite unité industrielle et 24 jeunes au métier technicien-soudeur. Soit au total 249 jeunes dont l’âge varie entre 18 et 30 ans. Le Pejedec est une des composantes de la politique de lutte contre le chômage du président Alassane Ouattara dont la faisabilité passe par l’élimination des obstacles auxquels est confrontée la jeunesse ivoirienne, en terme de possibilité d’accès à l’emploi. Ces obstacles ont principalement pour nom : inadéquation entre la formation et l’offre en emploi, l’absence d’expérience chez les demandeurs d’emploi et l’absence de qualification pour un bon nombre de cette jeunesse en âge d’exercer. En dépit des solutions mises en place ou encore en cours pour faciliter l’émergence d’un secteur privé dynamique et fort et susceptible d’absorber une partie importante de la jeunesse sans emplois, le Gouvernement a décidé de la mise en place du Pejedec (Projet emploi jeune et développement des compétences), soutenu par la Banque Mondiale à hauteur de 50 millions de dollars US, soit plus de 25 milliards de FCFA. Vu l’importance du projet, Dr Jim Jong Kim, président du Groupe de la Banque mondiale, lors de sa visite en Côte d’Ivoire le 4 septembre dernier, s’était rendu au Centre des Métiers de l’Electricité pour se rendre compte de la faisabilité de ce projet. La signature de la convention de partenariat entre la CIE et Pejedec traduit la concrétisation de la recherche de solution au problème de chômage en Côte d’Ivoire. Puisqu’au terme de la formation, les jeunes apprenants les plus méritants sortiront avec une attestation qui leur permettra, soit de créer leur petite entreprise ou de se faire valoir auprès des entreprises. Sans oublier que certains pourraient être retenus par la CIE dans le cadre de la relance de ses activités. S’exprimant au terme de la signature de la convention, Dominique Kakou, directeur général de la CIE a dit être heureux d’accompagner le Pejedec. Selon lui, la CIE est prête à aller plus loin, en améliorant l’accès des jeunes ivoiriens à l’emploi, en leur offrant l’opportunité d’une première expérience professionnelle et/ou d’une formation professionnelle adaptée aux besoins du marché. Bamba Adama, coordonateur du Pejedec s’est réjoui du caractère social qui entoure le projet. Le Pejedec vise a offrir des stages à 2250 jeunes ; mettre en apprentissage 3000 jeunes ; former 5000 jeunes aux métiers et professions qui répondent aux besoins du secteur privé ; offrir des emplois temporaires à 12500 jeunes à travers les Thimo (travaux à haute intensité de main d’œuvre) ; aider à la création d’entreprises pour 850 jeunes qualifiés et aider à la création d’AGR pour 3900 jeunes inscrits dans les Thimo.
Honoré Kouassi
La convention signée entre la Compagnie ivoirienne d’électricité CIE et le Pejedec (Projet emploi jeune et développement des compétences) vise la formation de 36 jeunes ivoiriens comme électriciens de branchement (BTA), 45 pour le contrôle d’étude et suivi des travaux électriques, 144 jeunes au métier d’électriciens d’une petite unité industrielle et 24 jeunes au métier technicien-soudeur. Soit au total 249 jeunes dont l’âge varie entre 18 et 30 ans. Le Pejedec est une des composantes de la politique de lutte contre le chômage du président Alassane Ouattara dont la faisabilité passe par l’élimination des obstacles auxquels est confrontée la jeunesse ivoirienne, en terme de possibilité d’accès à l’emploi. Ces obstacles ont principalement pour nom : inadéquation entre la formation et l’offre en emploi, l’absence d’expérience chez les demandeurs d’emploi et l’absence de qualification pour un bon nombre de cette jeunesse en âge d’exercer. En dépit des solutions mises en place ou encore en cours pour faciliter l’émergence d’un secteur privé dynamique et fort et susceptible d’absorber une partie importante de la jeunesse sans emplois, le Gouvernement a décidé de la mise en place du Pejedec (Projet emploi jeune et développement des compétences), soutenu par la Banque Mondiale à hauteur de 50 millions de dollars US, soit plus de 25 milliards de FCFA. Vu l’importance du projet, Dr Jim Jong Kim, président du Groupe de la Banque mondiale, lors de sa visite en Côte d’Ivoire le 4 septembre dernier, s’était rendu au Centre des Métiers de l’Electricité pour se rendre compte de la faisabilité de ce projet. La signature de la convention de partenariat entre la CIE et Pejedec traduit la concrétisation de la recherche de solution au problème de chômage en Côte d’Ivoire. Puisqu’au terme de la formation, les jeunes apprenants les plus méritants sortiront avec une attestation qui leur permettra, soit de créer leur petite entreprise ou de se faire valoir auprès des entreprises. Sans oublier que certains pourraient être retenus par la CIE dans le cadre de la relance de ses activités. S’exprimant au terme de la signature de la convention, Dominique Kakou, directeur général de la CIE a dit être heureux d’accompagner le Pejedec. Selon lui, la CIE est prête à aller plus loin, en améliorant l’accès des jeunes ivoiriens à l’emploi, en leur offrant l’opportunité d’une première expérience professionnelle et/ou d’une formation professionnelle adaptée aux besoins du marché. Bamba Adama, coordonateur du Pejedec s’est réjoui du caractère social qui entoure le projet. Le Pejedec vise a offrir des stages à 2250 jeunes ; mettre en apprentissage 3000 jeunes ; former 5000 jeunes aux métiers et professions qui répondent aux besoins du secteur privé ; offrir des emplois temporaires à 12500 jeunes à travers les Thimo (travaux à haute intensité de main d’œuvre) ; aider à la création d’entreprises pour 850 jeunes qualifiés et aider à la création d’AGR pour 3900 jeunes inscrits dans les Thimo.
Honoré Kouassi
