Monsieur le Ministre d’Etat, Ministre de l’Intérieur,
Madame et Monsieur les Maires,
Honorables chefs traditionnels,
Monsieur, Madame, distingués invités.
Monsieur le Ministre d’Etat, je voudrais une fois encore, vous renouveler nos remerciements pour votre disponibilité ; disponibilité de gérer la collectivité et surtout à défendre la sécurité de nos concitoyens.
Je voudrais aussi, Monsieur le Ministre d’Etat, rendre un témoignage vibrant à tous les Maires ici présents. Leurs préoccupations quotidiennes, c’est d’apporter un mieux-être aux populations qui leur font confiance. Leurs tâches sont certes difficiles mais la volonté de réussir les guide quotidiennement.
En 2006, on a enregistré à Abidjan 4751 accidents
En 2007, 4660 accidents
En 2008, 4980 accidents
En 2009, 5240 accidents
En 2010, 5341 accidents soit une moyenne arithmétique de 5046 accidents.
A Abidjan, il y a une quinzaine d’accidents par jour. Nous sommes en liaison avec l’OSER, pour déterminer la répartition de ces accidents, afin d’asseoir avec la police nationale, la stratégie d’approche concernant la détermination de la géométrie des accidents dans le District d’Abidjan. C’est un travail que nous ferons avec nos collaborateurs, la police nationale et l’OSER.
Un constat commun a été fait par toutes les populations du District d’Abidjan. En effet, Le moindre accrochage dans la circulation génère des embouteillages denses sur les artères principales concernés. Les cas les plus nocifs sont les accidents qui ont lieu sur l’un des deux ponts qui relient les zones nord et sud. Le calvaire des usagers devient indescriptible et les conséquences sont inimaginables.
Nous pouvons, avec votre permission, Monsieur le Ministre, égrener les conséquences de ces accrochages pour mesurer l’importance de l’action que vous nous avez encouragé à poser. Première conséquence : les retards de certains travailleurs à leur service, deuxième conséquence : le retard de certains voyageurs emmenés à utiliser les transports aériens pour rallier leur destination. Troisième conséquence : la difficulté de circulation pour les véhicules des sapeurs pompiers dont on sait que la rapidité d’intervention sur les lieux de sinistre est un facteur positif et permet de sauver des vies humaines. Quatrième conséquence : il en est de même des ambulances transportant des malades ou des blessés graves. Cinquième conséquence : l’accroissement des dépenses en carburant pour les automobilistes, relativement à la réalité selon laquelle, certains véhicules légers ont une consommation de carburant plus forte quand la vitesse de circulation est en dessous de 77 km/h. Dès lors qu’on se situe aux extrêmes de cette vitesse moyenne, la consommation en carburant s’accroit très rapidement. Sixième conséquence : l’impact négatif sur l’économie urbaine et même nationale, quand on sait que le port et l’aéroport constituent une importante porte d’entrée dans notre pays. Septième conséquence : les incommodités imposées à la circulation suburbaine et la pollution de l’air, également les gaz carboniques provenant des moteurs des véhicules. C’est dire que le bilan humain et économique ainsi que financier et environnementale est lourd et souvent défavorable.
Face à ce tableau, le District d’Abidjan et son conseil, en collaboration avec les maires, a donc décidé d’apporter dans un premier temps une modeste contribution pour aider à résoudre les problèmes liés au constat des accidents de la circulation par la police.
Monsieur le Ministre d’Etat, au regard de nos soucis en matière de circulation et de fluidité de la circulation urbaine, et au regard des préoccupations du Président de la République d’offrir à la Côte d’Ivoire et au District d’Abidjan une image de ville en pleine mutation politique, à tous ce que qui nous visitent, nous sommes réunis ce matin pour vous remettre, et ceci au bénéfice de la police nationale du District d’Abidjan, un condensé de matériels de constat rapide.
Je voudrais préciser que sur vos instructions, le Directeur Général de la police, en accord avec le commissariat spécial de la police chargé de la circulation, et en accord avec notre commissaire détaché au District d’Abidjan, la liste du matériel qui vous sera présentée a été établie par les spécialistes de la police eux-mêmes. Le District d’Abidjan, en accord avec les maires, a acquis l’intégralité de tout ce qu’il nous a été demandé. Il s’agit, Monsieur le Ministre d’Etat,
- D’un véhicule de type pick-up
- De 10 motos
- 05 kits informatiques
- D’imprimantes
- De 10 gilets
- 10 radios VHF
- 10 kits de constats comprenant des équerres, gommes, bref, tout ce qui sert à faire correctement le constat rapide
- 08 abris
- 100 paquets de rames
- 10 casques motos que nous avons pu acheter car il faut protéger nos collaborateurs qui nous aident.
Nous félicitons, Monsieur le Ministre en votre présence, le Directeur General de la police, la réaction rapide de ses éléments. Je puis les rassurer, qu’avec les maires, nous ferons en sorte qu’ils ne manquent jamais de carburant pour faire leur travail.
Le District d’Abidjan prévoit un montant annuel pour les aider à leur tâche.
Je vous remercie.
Monsieur Robert Beugré Mambé, Gouverneur du District Autonome d’Abidjan.
Madame et Monsieur les Maires,
Honorables chefs traditionnels,
Monsieur, Madame, distingués invités.
Monsieur le Ministre d’Etat, je voudrais une fois encore, vous renouveler nos remerciements pour votre disponibilité ; disponibilité de gérer la collectivité et surtout à défendre la sécurité de nos concitoyens.
Je voudrais aussi, Monsieur le Ministre d’Etat, rendre un témoignage vibrant à tous les Maires ici présents. Leurs préoccupations quotidiennes, c’est d’apporter un mieux-être aux populations qui leur font confiance. Leurs tâches sont certes difficiles mais la volonté de réussir les guide quotidiennement.
En 2006, on a enregistré à Abidjan 4751 accidents
En 2007, 4660 accidents
En 2008, 4980 accidents
En 2009, 5240 accidents
En 2010, 5341 accidents soit une moyenne arithmétique de 5046 accidents.
A Abidjan, il y a une quinzaine d’accidents par jour. Nous sommes en liaison avec l’OSER, pour déterminer la répartition de ces accidents, afin d’asseoir avec la police nationale, la stratégie d’approche concernant la détermination de la géométrie des accidents dans le District d’Abidjan. C’est un travail que nous ferons avec nos collaborateurs, la police nationale et l’OSER.
Un constat commun a été fait par toutes les populations du District d’Abidjan. En effet, Le moindre accrochage dans la circulation génère des embouteillages denses sur les artères principales concernés. Les cas les plus nocifs sont les accidents qui ont lieu sur l’un des deux ponts qui relient les zones nord et sud. Le calvaire des usagers devient indescriptible et les conséquences sont inimaginables.
Nous pouvons, avec votre permission, Monsieur le Ministre, égrener les conséquences de ces accrochages pour mesurer l’importance de l’action que vous nous avez encouragé à poser. Première conséquence : les retards de certains travailleurs à leur service, deuxième conséquence : le retard de certains voyageurs emmenés à utiliser les transports aériens pour rallier leur destination. Troisième conséquence : la difficulté de circulation pour les véhicules des sapeurs pompiers dont on sait que la rapidité d’intervention sur les lieux de sinistre est un facteur positif et permet de sauver des vies humaines. Quatrième conséquence : il en est de même des ambulances transportant des malades ou des blessés graves. Cinquième conséquence : l’accroissement des dépenses en carburant pour les automobilistes, relativement à la réalité selon laquelle, certains véhicules légers ont une consommation de carburant plus forte quand la vitesse de circulation est en dessous de 77 km/h. Dès lors qu’on se situe aux extrêmes de cette vitesse moyenne, la consommation en carburant s’accroit très rapidement. Sixième conséquence : l’impact négatif sur l’économie urbaine et même nationale, quand on sait que le port et l’aéroport constituent une importante porte d’entrée dans notre pays. Septième conséquence : les incommodités imposées à la circulation suburbaine et la pollution de l’air, également les gaz carboniques provenant des moteurs des véhicules. C’est dire que le bilan humain et économique ainsi que financier et environnementale est lourd et souvent défavorable.
Face à ce tableau, le District d’Abidjan et son conseil, en collaboration avec les maires, a donc décidé d’apporter dans un premier temps une modeste contribution pour aider à résoudre les problèmes liés au constat des accidents de la circulation par la police.
Monsieur le Ministre d’Etat, au regard de nos soucis en matière de circulation et de fluidité de la circulation urbaine, et au regard des préoccupations du Président de la République d’offrir à la Côte d’Ivoire et au District d’Abidjan une image de ville en pleine mutation politique, à tous ce que qui nous visitent, nous sommes réunis ce matin pour vous remettre, et ceci au bénéfice de la police nationale du District d’Abidjan, un condensé de matériels de constat rapide.
Je voudrais préciser que sur vos instructions, le Directeur Général de la police, en accord avec le commissariat spécial de la police chargé de la circulation, et en accord avec notre commissaire détaché au District d’Abidjan, la liste du matériel qui vous sera présentée a été établie par les spécialistes de la police eux-mêmes. Le District d’Abidjan, en accord avec les maires, a acquis l’intégralité de tout ce qu’il nous a été demandé. Il s’agit, Monsieur le Ministre d’Etat,
- D’un véhicule de type pick-up
- De 10 motos
- 05 kits informatiques
- D’imprimantes
- De 10 gilets
- 10 radios VHF
- 10 kits de constats comprenant des équerres, gommes, bref, tout ce qui sert à faire correctement le constat rapide
- 08 abris
- 100 paquets de rames
- 10 casques motos que nous avons pu acheter car il faut protéger nos collaborateurs qui nous aident.
Nous félicitons, Monsieur le Ministre en votre présence, le Directeur General de la police, la réaction rapide de ses éléments. Je puis les rassurer, qu’avec les maires, nous ferons en sorte qu’ils ne manquent jamais de carburant pour faire leur travail.
Le District d’Abidjan prévoit un montant annuel pour les aider à leur tâche.
Je vous remercie.
Monsieur Robert Beugré Mambé, Gouverneur du District Autonome d’Abidjan.
