Avec le ballon rond, on ne sait jamais ce qu'il va arriver. En Afrique, plus qu'ailleurs, le football marche sur la tête.
«A ce niveau de la compétition, il n'y a plus de petite équipe.»
Cet adage, souvent utilisé par les footballeurs pour répondre aux questions des journalistes au moment d'affronter des équipes prétendument moins huppées, est avéré en Afrique.
Un coup d'oeil aux résultats des éliminatoires de la CAN 2013 suffit à le confirmer.
Le Burkina Faso, battu par la République centrafricaine (1-0), le Cameroun, vaincu par le Cap-Vert (2-1), le Maroc surpris par le Mozambique (2-0), ou le Zimbawe, accroché par le l'Angola (2-0), ne diraient pas autre chose.
Et les premiers devinrent les derniers...
Comment expliquer de telles déconvenues pour les... suite de l'article sur Slate Afrique
«A ce niveau de la compétition, il n'y a plus de petite équipe.»
Cet adage, souvent utilisé par les footballeurs pour répondre aux questions des journalistes au moment d'affronter des équipes prétendument moins huppées, est avéré en Afrique.
Un coup d'oeil aux résultats des éliminatoires de la CAN 2013 suffit à le confirmer.
Le Burkina Faso, battu par la République centrafricaine (1-0), le Cameroun, vaincu par le Cap-Vert (2-1), le Maroc surpris par le Mozambique (2-0), ou le Zimbawe, accroché par le l'Angola (2-0), ne diraient pas autre chose.
Et les premiers devinrent les derniers...
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