«Je ne suis pas particulièrement surpris puisque dans tous ces classements qu’on fait ces temps-ci, nous occupons le dernier rang. Ce sont des critères dont il faut tenir compte pour s’améliorer. Il ne faut pas les voir du mauvais côté. Ce genre de notation qui classe l’ensemble des pays du monde en général sont très objectifs, ça veut dire que nous avons une marge de progression importante. Pour moi, ça reste toujours des curseurs (…) Ça veut dire qu’il y a urgence pour nous. Le chemin est long, c’est nous qui devons le rendre plus court. Il faut qu’on se retrousse les manches. Il y a des choses qu’on peut changer très vite. Il faut avoir la volonté pour changer et aider à ce changement. Nous sommes là pour accompagner, aider, soutenir dès lors qu’il y a cette volonté de changement et d’amélioration».
Propos recueillis par FO
Propos recueillis par FO