Ensemble des produits financiers à la disposition des populations exclues par le système financier classique, parce que ne pouvant satisfaire aux conditions des banques et établissements financiers, la microfinance est depuis, hier, lundi 29 octobre, au centre d’un colloque national. Avec comme résultat, contribuer à la relance économique et à l’amélioration des conditions de vie.
“La microfinance face aux défis du développement économique et social : stratégies et perspectives dans un contexte de reconstruction». Tel est le thème retenu pour le colloque national sur la microfinance qui se déroule depuis hier, lundi 29 octobre. Pour M. Koné Adama, directeur général du Trésor Public qui représentait le ministre de l’Economie et des finances, à la cérémonie inaugurale, « en donnant une place de choix à la microfinance dans sa politique économique pour la reconstruction nationale, le Président Alassane Ouattara réaffirme également son engagement pour la réalisation d’une réconciliation durable ». Puisque pour lui, « en permettant à ces personnes d’accéder au crédit, la microfinance leur offre la possibilité d’entreprendre des activités génératrices de revenus », a-t-il révélé avant de soutenir qu’il s’agit pour le chef de l’Etat, à travers la promotion de la Microfinance, de faciliter l’accès aux services financiers, d’améliorer l’équité sociale et de favoriser l’égalité entre les ivoiriens. Les autorités Ivoiriennes voulant, selon lui, « donner à chacun les chances d’être à la fois acteur et bénéficiaire du développement de la nouvelle Côte d’Ivoire ». Raison pour laquelle, Koné Adama, a tenu à saluer les participants à ce colloque. « Le fait que vous ayez accepté d’apporter vos précieux concours, à la réalisation d’une vision dont le caractère humaniste ne souffre d’aucun doute, ne peut que susciter en nous reconnaissance et sincères gratitudes », a reconnu l’émissaire du ministre Charles Koffi Diby. Aussi, le Dg du Trésor Public n’a-t-il pas manqué de traduire les gratitudes du gouvernement ivoirien aux partenaires au développement notamment de l’agence Française de Développement (AFD), la Banque Africaine de Développement (BAD), Planète Finance, le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) et OIKOCREDIT qui ont contribué à l’organisation de ces assises qui prennent fin ce jour, mardi 30 octobre. Avec comme objectif, réfléchir aux voies et moyens devant permettre aux programmes de microcrédit et de microfinancement d’avoir une meilleure visibilité dans la stratégie globale du développement.
JULES CESAR
“La microfinance face aux défis du développement économique et social : stratégies et perspectives dans un contexte de reconstruction». Tel est le thème retenu pour le colloque national sur la microfinance qui se déroule depuis hier, lundi 29 octobre. Pour M. Koné Adama, directeur général du Trésor Public qui représentait le ministre de l’Economie et des finances, à la cérémonie inaugurale, « en donnant une place de choix à la microfinance dans sa politique économique pour la reconstruction nationale, le Président Alassane Ouattara réaffirme également son engagement pour la réalisation d’une réconciliation durable ». Puisque pour lui, « en permettant à ces personnes d’accéder au crédit, la microfinance leur offre la possibilité d’entreprendre des activités génératrices de revenus », a-t-il révélé avant de soutenir qu’il s’agit pour le chef de l’Etat, à travers la promotion de la Microfinance, de faciliter l’accès aux services financiers, d’améliorer l’équité sociale et de favoriser l’égalité entre les ivoiriens. Les autorités Ivoiriennes voulant, selon lui, « donner à chacun les chances d’être à la fois acteur et bénéficiaire du développement de la nouvelle Côte d’Ivoire ». Raison pour laquelle, Koné Adama, a tenu à saluer les participants à ce colloque. « Le fait que vous ayez accepté d’apporter vos précieux concours, à la réalisation d’une vision dont le caractère humaniste ne souffre d’aucun doute, ne peut que susciter en nous reconnaissance et sincères gratitudes », a reconnu l’émissaire du ministre Charles Koffi Diby. Aussi, le Dg du Trésor Public n’a-t-il pas manqué de traduire les gratitudes du gouvernement ivoirien aux partenaires au développement notamment de l’agence Française de Développement (AFD), la Banque Africaine de Développement (BAD), Planète Finance, le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) et OIKOCREDIT qui ont contribué à l’organisation de ces assises qui prennent fin ce jour, mardi 30 octobre. Avec comme objectif, réfléchir aux voies et moyens devant permettre aux programmes de microcrédit et de microfinancement d’avoir une meilleure visibilité dans la stratégie globale du développement.
JULES CESAR