Le recensement des ex-combattants à l’ouest du pays a pris fin. Ce sont au total 10.743 personnes qui ont pu être recensées à l’issue d’un mois de travail par les agents de l’INS, selon le directeur régional, Bleu Jacques qui a donné l’information au cours d’un point de presse qu’il a animé le mercredi 31 octobre dernier, dans les locaux de son institution à Man.
« Nous avions en charge le district des Montagnes qui couvre les régions du Tonkpi, du Cavally et du Guémon. Au total, ce sont 10.743 personnes qui ont été recensés sur une estimation de 12. 000. Ce qui nous donne un taux de couverture de 90% », a-t-il indiqué.
Commentant ces résultats, il a indiqué qu’il s’agit d’un bilan provisoire. « C’est vrai que nous en avons fini avec la collecte des données. Il va falloir les traiter », a-t-il ajouté. A l’en croire, l’état, à travers ce recensement veut «aider» ces ex combattants à avoir «une vie normale» en vu de garantir la paix et la stabilité du pays. «Dans le recensement que nous avons eu à faire, il y’avait un volet concernant la réinsertion. Puisqu’il leur a été demandé de dire ce qu’il voulait faire comme activité», a-t-il souligné. C’est pourquoi, dira-t-il, «tout le monde a été pris en compte dans le recensement que nous avons fait». «Qu’il s’agisse des ex- membres des groupes d’auto défense, des ex-combattants des ex-FAFN, ou des jeunes associés », fait il savoir.
Rahoul Sainfort (Correspondant régional)
« Nous avions en charge le district des Montagnes qui couvre les régions du Tonkpi, du Cavally et du Guémon. Au total, ce sont 10.743 personnes qui ont été recensés sur une estimation de 12. 000. Ce qui nous donne un taux de couverture de 90% », a-t-il indiqué.
Commentant ces résultats, il a indiqué qu’il s’agit d’un bilan provisoire. « C’est vrai que nous en avons fini avec la collecte des données. Il va falloir les traiter », a-t-il ajouté. A l’en croire, l’état, à travers ce recensement veut «aider» ces ex combattants à avoir «une vie normale» en vu de garantir la paix et la stabilité du pays. «Dans le recensement que nous avons eu à faire, il y’avait un volet concernant la réinsertion. Puisqu’il leur a été demandé de dire ce qu’il voulait faire comme activité», a-t-il souligné. C’est pourquoi, dira-t-il, «tout le monde a été pris en compte dans le recensement que nous avons fait». «Qu’il s’agisse des ex- membres des groupes d’auto défense, des ex-combattants des ex-FAFN, ou des jeunes associés », fait il savoir.
Rahoul Sainfort (Correspondant régional)