Après une rencontre au Baron de Yopougon le 8 septembre dernier où il a tendu la main aux jeunes patriote, le ministre de l’intérieur, Hamed Bakayoko a une fois encore au nom de la paix et de la réconciliation nationale tenu a prendre part au meeting que ceux-ci ont décidé de tenir à la place Cp1 de la dite commune. Mais, en raison de son calendrier chargé, Hamed Bakayoko s’est fait représenté par le deuxième vice président de l’assemblée nationale, l’honorable Oula Privat qui avait à ses côtés, quatre collègues dont l’honorable Oulata Gaoudi, président de la commission sécurité à l’assemblée nationale. Le représentant du ministre de l’intérieur n’est pas passé par quatre chemin pour faire savoir à la jeunesse patriotique et aux militants Fpi qu’on peut être digne fils de Laurent Gbagbo et aimer son pays. « Le jeunes patriote n’ont pas besoin de Kalaches, ils ont besoin de travailler » leur a-t-il lancé. En leur rassurant que beaucoup de leur camarades en exiles pourront rentrer très bientôt et que dès la semaine prochaine le siège du cojep leur sera restitué, l’honorable Oula Privat a félicité les jeunes patriotes pour leur remarquable contribution au retour à la paix en Côte d’Ivoire. A son tour de parole, le maire de la commune de Yopougon, Yao yao Bertin a fait savoir que c’est avec beaucoup de satisfaction qu’il a observé un changement dans le comportement des jeunes patriotes. Cependant il n’a pas manqué de conseiller que l’épanouissement ne peut être possible sans la paix civile et la réconciliation vraie. « Il faut renouer à la haine, à la vengeance et à la violence. Je ferrai tout ce qui est humainement possible pour votre insertion dans le tissu social à Yopougon a lancé le maire Yao yao Bertin sous un tonnerre d’applaudissement. Et de conclure qu’à ce jour, le mur de méfiance est tombé à Yopougon. Zady Djèdjè, président de la coalition de la jeunesse patriotique pour la paix et la réconciliation a expliqué l’objectif de ce rassemblement est pour les jeunes ptriote de dire désormais non à la guerre. « Je ne suis pas là pour une marrée humaine, mais de délivrer un message. Il s’agit de dire non à la guerre, à la violence, à mettre fin à la manipulation de la jeunesse » a t’il lancé à ses camarades. Et de conseiller que les ont besoin d’un lendemain meilleurs afin de se prendre en charge. « Au nom de la paix, de la réconciliation et de nos camarades qui sont en exile, si on nous taxe d’acheté et de traite, j’accepte » a martellé Zady Djédjé. Et de conclure que ce n’est pas dans la haine et dans la violence que les problèmes seront réglés car tous les ivoiriens ont quelque chose en commun qui est la Côte d’Ivoire.
Etienne Atta
Etienne Atta