La famille du noble art sera en assemblée générale extraordinaire, ce samedi 10 novembre 2012. Une assemblée qui a pour but de nettoyer les textes régissant la féderation ivoirienne de boxe (Fib).
Pour le président de la Fib, Arsène Yobouet, cette rencontre vise à ramener la paix dans la famille de la boxe ivoirienne, d’où l’ouverture qu’il entend faire en amendant les textes. Notamment sur les droits d’affiliation. De 120000FCFA, l’affiliation sera désormais offerte gracieusement aux clubs. « Je veux faire une large ouverture pour que tous les clubs rejoignent la FIB. C’est une décision qui porte forcément préjudice à la caisse de la fédération, car ce sont ces ressources qui sont mobilisées pour son fonctionnement. Mais nous avons besoin des forces vives pour soutenir la boxe ivoirienne. Je souhaite que la Boxe ivoirienne devienne une avec tous ses membres », a souligné le président du noble art ivoirien. Selon lui, la gratuité de l’affiliation coûtera cher à la fédération qui tire ses ressources des droits d’adhésion. « Pour ramener la paix dans la famille, nous faisons ce sacrifice », dira le patron du noble art. Pour les dissidents, cette volonté de réviser les textes de la fédération cache autre chose. « Quelle est l’urgence d’une assemblée générale extraordinaire ? S’il s’agit de la gratuité de l’affiliation, pourquoi convoquer une assemblée générale extraordinaire ? Alors qu’ en décembre, nous avons une assemblée générale ordinaire », nous a confié un président de club qui a requis l’anonymat. Pour lui, l’urgence, c’est l’organisation des grandes compétitions. « Cela fait plus d’un an que nous n’avons pas eu de compétition majeure. La dernière en date était le championnat d’Afrique qui a eu lieu en août 2011. Une compétition remportée par la Côte d’Ivoire. Nous voulons que la fédération organise de grands galas de boxe comme par le passé. Et non une assemblée générale extraordinaire. Le ministre Légré Philippe avait interpellé la fédération pour sa passivité dans l’organisation des compétitions. S’il continue dans cette voie, il aura la tutelle dans le dos », a-t-il poursuivi. Et d’ajouter qu’il se rendra à cette assemblée.
K.Ange
Pour le président de la Fib, Arsène Yobouet, cette rencontre vise à ramener la paix dans la famille de la boxe ivoirienne, d’où l’ouverture qu’il entend faire en amendant les textes. Notamment sur les droits d’affiliation. De 120000FCFA, l’affiliation sera désormais offerte gracieusement aux clubs. « Je veux faire une large ouverture pour que tous les clubs rejoignent la FIB. C’est une décision qui porte forcément préjudice à la caisse de la fédération, car ce sont ces ressources qui sont mobilisées pour son fonctionnement. Mais nous avons besoin des forces vives pour soutenir la boxe ivoirienne. Je souhaite que la Boxe ivoirienne devienne une avec tous ses membres », a souligné le président du noble art ivoirien. Selon lui, la gratuité de l’affiliation coûtera cher à la fédération qui tire ses ressources des droits d’adhésion. « Pour ramener la paix dans la famille, nous faisons ce sacrifice », dira le patron du noble art. Pour les dissidents, cette volonté de réviser les textes de la fédération cache autre chose. « Quelle est l’urgence d’une assemblée générale extraordinaire ? S’il s’agit de la gratuité de l’affiliation, pourquoi convoquer une assemblée générale extraordinaire ? Alors qu’ en décembre, nous avons une assemblée générale ordinaire », nous a confié un président de club qui a requis l’anonymat. Pour lui, l’urgence, c’est l’organisation des grandes compétitions. « Cela fait plus d’un an que nous n’avons pas eu de compétition majeure. La dernière en date était le championnat d’Afrique qui a eu lieu en août 2011. Une compétition remportée par la Côte d’Ivoire. Nous voulons que la fédération organise de grands galas de boxe comme par le passé. Et non une assemblée générale extraordinaire. Le ministre Légré Philippe avait interpellé la fédération pour sa passivité dans l’organisation des compétitions. S’il continue dans cette voie, il aura la tutelle dans le dos », a-t-il poursuivi. Et d’ajouter qu’il se rendra à cette assemblée.
K.Ange