Dakar (Sénégal) - La Fédération sénégalaise de football a renoncé à faire appel contre les sanctions que la Confédération africaine de football (CAF) lui a infligées à la suite des incidents ayant émaillé le match Sénégal / Côte d’Ivoire du 13 octobre dernier à Dakar, comptant pour les éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) 2013, a-t-on appris mardi de bonne source.
''Les membres du Comité exécutif qui ont été consultés par le président de la fédération de football ont décidé de ne pas interjeter appel'', a confié à l'APS le directeur administratif de la FSF, Victor Ciss.
Le président de la Fédération sénégalaise de football, Me Augustin Senghor, avait, juste après notification de la mesure le 29 novembre dernier, évoqué la possibilité de faire appel de la décision du jury disciplinaire de la CAF de suspendre, pour une durée d'un an, le stade Léopold Sédar Senghor de Dakar et d'infliger une amende de 50.000 dollars à la FSF.
Entre temps, Me Senghor ainsi que le conseiller juridique commis pour les besoins de ce dossier, Me Guédel Ndiaye, avaient reconnu, à travers des sorties dans la presse, le caractère ‘'juste'' des sanctions. D'où donc la décision de la FSF de ne pas interjeter appel.
Le 13 octobre dernier, Sénégal-Côte d'Ivoire avait été interrompu à la 74e minute alors que les Eléphants menaient 2-0. Des feux avaient été allumés dans les gradins et des projectiles avaient été jetés sur la piste d'athlétisme du stade Léopold Sédar Senghor par des supporters mécontents du pénalty sifflé contre les Lions.
Dans sa première réaction, la CAF avait décidé d'exclure le Sénégal de la Coupe d'Afrique des nations (CAN) 2013, en validant en même temps le résultat obtenu sur le terrain.
''Les membres du Comité exécutif qui ont été consultés par le président de la fédération de football ont décidé de ne pas interjeter appel'', a confié à l'APS le directeur administratif de la FSF, Victor Ciss.
Le président de la Fédération sénégalaise de football, Me Augustin Senghor, avait, juste après notification de la mesure le 29 novembre dernier, évoqué la possibilité de faire appel de la décision du jury disciplinaire de la CAF de suspendre, pour une durée d'un an, le stade Léopold Sédar Senghor de Dakar et d'infliger une amende de 50.000 dollars à la FSF.
Entre temps, Me Senghor ainsi que le conseiller juridique commis pour les besoins de ce dossier, Me Guédel Ndiaye, avaient reconnu, à travers des sorties dans la presse, le caractère ‘'juste'' des sanctions. D'où donc la décision de la FSF de ne pas interjeter appel.
Le 13 octobre dernier, Sénégal-Côte d'Ivoire avait été interrompu à la 74e minute alors que les Eléphants menaient 2-0. Des feux avaient été allumés dans les gradins et des projectiles avaient été jetés sur la piste d'athlétisme du stade Léopold Sédar Senghor par des supporters mécontents du pénalty sifflé contre les Lions.
Dans sa première réaction, la CAF avait décidé d'exclure le Sénégal de la Coupe d'Afrique des nations (CAN) 2013, en validant en même temps le résultat obtenu sur le terrain.
