Depuis un moment un litige oppose le Groupe ivoire académie (GIA) à l’Etat de Côte d’Ivoire. En effet, dans un courrier du Directeur général de la Sogepie, en date du 18 juin 2012, et destiné au président directeur général de GIA, il a été demandé à cet institut de formation de libérer les locaux de l’ex-ISAPT, au profit de l’Ecole Supérieure Africaine des Technologies de l’Information et de la Communication (ESATIC), au plus tard le 31 juillet 2012.
Jusqu’aujourd’hui, cet appel semble tombé dans des oreilles de sourd. Au cours d’une conférence de presse qu’il a animé hier jeudi, Konaté Adama, Directeur Général de l’Esatic, n’a pas manqué d’apporter des éclaircissements aux journalistes, qui voulaient en savoir ce qui en est de l’occupation des locaux par le GIA. Cette rencontre avec la presse, qui avait pour objectif de présenter l’Esatic, ses parcours pédagogiques, les activités déjà menées et les perspectives, s’est voulue riche en échange au sujet de cette affaire d’occupation illégale du patrimoine de l’Etat. « Le GIA occupe les locaux sans titre, ni loi », a-t-il soutenu. Pour lui, le départ des étudiants du GIA de ce site est une question de jours. « Les étudiants partirons des locaux. Le GIA n’a plus de titre, il occupe les locaux sans droit », a poursuivit Konaté Adama. Dans sa déclaration liminaire, le Dg de l’Esatic a fait savoir que l’école qu’il dirige, est un établissement public d’enseignement supérieur. Elle a pour missions principales d’assurer la formation initiale, continue et la recherche dans les métiers des technologies de l’information et de la communication.
Nommé par décret à la tête de l’Esatic depuis le 23 mai 2012, Konaté Adama a pris effectivement fonction depuis le 5 juin 2012. Conscient du volume du travail et de l’enjeu de la maison qui lui a été confié, le nouveau Directeur Général a mis sur pied un groupe de travail, en vue d’œuvrer à la relance des activités de l’école, à la mise en place des programmes d’enseignement. Et depuis le 19 novembre, l’école a ouvert ses portes avec plus de 260 étudiants. A en croire Konaté Adama, il y a de nombreuses perspectives. Et l’une des priorités consistera à développer la recherche et à valoriser les résultats. Ainsi, le recherche sera réorganisée par différentes initiatives comme les partenaires nationaux, régionaux et internationaux, l’amélioration de l’environnement de la recherche, la disponibilité des ressources documentaires, et l’organisation de séminaires de haut niveau dédiés à la sensibilisation, la formation et au partage des connaissances scientifiques et technologiques en lien avec les télécommunications.
Lazare Kouadio
Jusqu’aujourd’hui, cet appel semble tombé dans des oreilles de sourd. Au cours d’une conférence de presse qu’il a animé hier jeudi, Konaté Adama, Directeur Général de l’Esatic, n’a pas manqué d’apporter des éclaircissements aux journalistes, qui voulaient en savoir ce qui en est de l’occupation des locaux par le GIA. Cette rencontre avec la presse, qui avait pour objectif de présenter l’Esatic, ses parcours pédagogiques, les activités déjà menées et les perspectives, s’est voulue riche en échange au sujet de cette affaire d’occupation illégale du patrimoine de l’Etat. « Le GIA occupe les locaux sans titre, ni loi », a-t-il soutenu. Pour lui, le départ des étudiants du GIA de ce site est une question de jours. « Les étudiants partirons des locaux. Le GIA n’a plus de titre, il occupe les locaux sans droit », a poursuivit Konaté Adama. Dans sa déclaration liminaire, le Dg de l’Esatic a fait savoir que l’école qu’il dirige, est un établissement public d’enseignement supérieur. Elle a pour missions principales d’assurer la formation initiale, continue et la recherche dans les métiers des technologies de l’information et de la communication.
Nommé par décret à la tête de l’Esatic depuis le 23 mai 2012, Konaté Adama a pris effectivement fonction depuis le 5 juin 2012. Conscient du volume du travail et de l’enjeu de la maison qui lui a été confié, le nouveau Directeur Général a mis sur pied un groupe de travail, en vue d’œuvrer à la relance des activités de l’école, à la mise en place des programmes d’enseignement. Et depuis le 19 novembre, l’école a ouvert ses portes avec plus de 260 étudiants. A en croire Konaté Adama, il y a de nombreuses perspectives. Et l’une des priorités consistera à développer la recherche et à valoriser les résultats. Ainsi, le recherche sera réorganisée par différentes initiatives comme les partenaires nationaux, régionaux et internationaux, l’amélioration de l’environnement de la recherche, la disponibilité des ressources documentaires, et l’organisation de séminaires de haut niveau dédiés à la sensibilisation, la formation et au partage des connaissances scientifiques et technologiques en lien avec les télécommunications.
Lazare Kouadio