Bouaké - Un atelier de réflexion, et de formation initié par la préfecture de Bouaké avec l’appui de l’USAID, à l’intention des acteurs du transport s’est tenu de mardi à jeudi en vue d’amener les transporteurs à s’approprier les dispositions prescrites par la loi, en matière de transport, pour une bonne collaboration entre eux et les autorités locales.
"Vu le constat de l’incivisme notoire qu’il y a dans le milieu nous avons décidé d’éduquer et d’informer les acteurs afin que chacun sache ce qu’il doit faire et ce qu’il ne doit pas faire" a déclaré le directeur régional du transport Sako Ibrahim au terme de la formation, tout en précisant que cette phase de sensibilisation sera suivie par une phase de répression.
Le porte-parole des transporteurs de Bouaké Sako Oumar se félicitant de la tenue de l’atelier, a dénoncé l’augmentation des taxes, par les autorités qui selon lui ne font rien pour améliorer l’état des routes.Le président du collectif de l’auto-école de Bouaké, Koffi Yao a pour sa part déploré, l’attitude peu catholique des ONG, qui leur font une concurrence déloyale en faisant la promotion de certaines auto-écoles qui appliquent des tarifs forfaitaires en deçà de la normale.
"Le rôle des ONG c’est de sensibiliser tous ceux qui n’ont pas de permis de conduire et non de se substituer en auto-école" a rappelé Koffi Yao ajoutant que les propriétaires des auto-écoles sont suffisamment fournies pour diriger ces structures assermentées et agréées.
L’atelier de réflexion sur le transport a permis d’identifier et analyser les obstacles liés au transport à Bouaké a décidé de mettre sur pied un comité de suivi pour une bonne applicabilité des décisions sur le terrain.
"Vu le constat de l’incivisme notoire qu’il y a dans le milieu nous avons décidé d’éduquer et d’informer les acteurs afin que chacun sache ce qu’il doit faire et ce qu’il ne doit pas faire" a déclaré le directeur régional du transport Sako Ibrahim au terme de la formation, tout en précisant que cette phase de sensibilisation sera suivie par une phase de répression.
Le porte-parole des transporteurs de Bouaké Sako Oumar se félicitant de la tenue de l’atelier, a dénoncé l’augmentation des taxes, par les autorités qui selon lui ne font rien pour améliorer l’état des routes.Le président du collectif de l’auto-école de Bouaké, Koffi Yao a pour sa part déploré, l’attitude peu catholique des ONG, qui leur font une concurrence déloyale en faisant la promotion de certaines auto-écoles qui appliquent des tarifs forfaitaires en deçà de la normale.
"Le rôle des ONG c’est de sensibiliser tous ceux qui n’ont pas de permis de conduire et non de se substituer en auto-école" a rappelé Koffi Yao ajoutant que les propriétaires des auto-écoles sont suffisamment fournies pour diriger ces structures assermentées et agréées.
L’atelier de réflexion sur le transport a permis d’identifier et analyser les obstacles liés au transport à Bouaké a décidé de mettre sur pied un comité de suivi pour une bonne applicabilité des décisions sur le terrain.