Un milliard de francs dans la création du Centre de formation : équipements, locaux, ingénierie pédagogique et formation de formateur. C’est l’investissement fait par Bolloré Africalogistics pour son centre de formation. Il a été présenté le 03 décembre dernier à la presse par Mme Fatou R. Cissé, directeur adjoint.
L’objectif visé par Bolloré Africa Logistics est de former son personnel à la conduite et de maintenir le niveau de compétence le plus élevé pour leur permettre d’opérer sur des engins faisant appel à des interfaces de plus en plus complexes et coûteuses (un portique de quai est évalué à 6 milliards).
Ce Centre de formation dispose également d’un centre d’alphabétisation. «Hier, pour manutentionner des charges, on faisait appel aux muscles. Aujourd’hui, on travaille sur des machines informatisées. C’est pourquoi ? Il est nécessaire d’avoir un certain niveau d’éducation avant de s’engager dans nos formations de métier», a-t-elle fait savoir.
Ce centre, explique Fatou R. Cissé, «représente un outil important pour la société : C’est un investissement qui est non seulement financier mais qui doit être exprimé aussi en gain de capital humain. Depuis la mise en place de cette formation en 2008, on a assisté à une baisse du taux d’accidents humains. Notre budget de fonctionnement est de 600 millions de francs Cfa par an», a-t-elle conclu. Le centre forme non seulement en Côte d’Ivoire mais aussi partout également en Afrique.
Dje km
L’objectif visé par Bolloré Africa Logistics est de former son personnel à la conduite et de maintenir le niveau de compétence le plus élevé pour leur permettre d’opérer sur des engins faisant appel à des interfaces de plus en plus complexes et coûteuses (un portique de quai est évalué à 6 milliards).
Ce Centre de formation dispose également d’un centre d’alphabétisation. «Hier, pour manutentionner des charges, on faisait appel aux muscles. Aujourd’hui, on travaille sur des machines informatisées. C’est pourquoi ? Il est nécessaire d’avoir un certain niveau d’éducation avant de s’engager dans nos formations de métier», a-t-elle fait savoir.
Ce centre, explique Fatou R. Cissé, «représente un outil important pour la société : C’est un investissement qui est non seulement financier mais qui doit être exprimé aussi en gain de capital humain. Depuis la mise en place de cette formation en 2008, on a assisté à une baisse du taux d’accidents humains. Notre budget de fonctionnement est de 600 millions de francs Cfa par an», a-t-elle conclu. Le centre forme non seulement en Côte d’Ivoire mais aussi partout également en Afrique.
Dje km