Le Premier ministre Daniel Kablan Duncan a procédé ce jeudi 27 décembre 2012, à la Primature, au Plateau, au lancement des travaux du Comité de concertation Secteur public / secteur privé.
Le Premier ministre Daniel Kablan Duncan a fait remarquer que « La rencontre de ce jour marque à nouveau la ferme détermination du Gouvernement à faire du secteur privé, le principal moteur de la croissance économique de notre pays ».
Il a rappelé que le gouvernement ivoirien « tiendra tous ses engagements et prendra toutes les dispositions pratiques nécessaires à la création d’un climat général favorable aux affaires ».
D’où le lancement des travaux du Comité de concertation Secteur public/ secteur privé, qui a commencé par la mise en place du Comité de Mobilisation des Ressources Extérieures et de suivi des Investissements.
L’objectif global étant, à en croire M. Duncan, « d’améliorer la compétitivité de l’économie ivoirienne, notamment les coûts des facteurs, et de renforcer le climat de confiance mutuelle entre l’Etat et le secteur privé ».
C’est à ce titre, a noté le Premier ministre, que « les activités du Comité de Concertation entre l’Etat et le secteur privé initié par le décret n° 90-1233 du 17 octobre 1990, modifié par le décret n° 96-683 du 4 septembre 1996 et régi aujourd’hui par le décret n° 2001-430 du 18 juillet 2001, seront revues et redynamisées avec un suivi plus régulier par les membres du Gouvernement ».
Rendre le pays plus attractif pour les capitaux privés
« Je m’emploierai personnellement à réunir tous les trimestres, l’organe de direction qu’est le Comité d’Orientation et de Décision (COD), composé des ministres concernés, afin d’apporter des réponses concrètes aux préoccupations des acteurs du secteur privé.
Dans l’intervalle, la ministre auprès du Premier ministre, chargée de l’Economie et des Finances a été instruite à l’effet de tenir une réunion bimestrielle avec le Comité d’Orientation et de Décision, composé des ministres concernés et des présidents des organisations patronales.
Il en sera de même pour le Secrétariat technique du Comité de Concertation qui, désormais, devra se réunir tous les mois et rendre compte de ses activités au Comité d’Orientation et de Décision », a indiqué le Premier ministre.
Le chef du gouvernement a assuré que « toutes les missions inscrites dans les textes qui régissent le Comité de Concertation seront remplies, afin d’améliorer l’environnement des affaires et de rendre les entreprises ivoiriennes plus compétitives, créatrices de richesses et d’emplois.
En outre, tous les textes pris pour favoriser l’investissement privé (nouveau code des investissements, codes sectoriels) seront appliqués pour rendre la destination Côte d’Ivoire plus attractive pour les capitaux privés ».
Traitement définitif de la dette privée
Des investissements privés, mais aussi et surtout publics. Aussi, « Le Gouvernement réalisera également des investissements publics massifs non seulement dans les domaines des infrastructures économiques de base, mais aussi et notamment dans les domaines de la santé, de l’éducation et de la formation, pour permettre aux entreprises de disposer d’une main d’œuvre de qualité. Chacun sait, comme le dit l’adage : « Il n’est de richesse que d’hommes ». C’est d’ailleurs dans ce sens que le Président de la République a décidé de re-instituer les Prix d’Excellence qui seront décernés chaque année le 6 août, à la veille de la fête nationale. Ils concerneront tant le secteur Public que le secteur Privé et célébreront les lauréats des lauréats et l’excellence », a souligné M. Duncan.
Au plan purement financier, le Premier ministre a déclaré que « le gouvernement s’engage, dès janvier 2013, à procéder au traitement définitif de la dette privée pour donner un nouveau souffle aux entreprises ». Les modalités pratiques de ce traitement seront précisées ultérieurement.
Toutes ces actions du gouvernement visent à porter le taux d’investissement global à 23,5 % du Produit intérieur brut (PIB) en 2015. Actuellement (2012), il s’élève à 12,5 %, contre 8,2 % en 2011.
Quant au d’investissement public, il devra passer de 5,4 % en 2012 à 9 % en 2015. Le taux d’investissement privé qui s’élève actuellement à 7,10 % du PIB, devrait, avec toutes ces mesures, passer à 14,5 % en 2015. Il était de 2,8 % en 2011.
Le Service Communication de la Primature
Le Premier ministre Daniel Kablan Duncan a fait remarquer que « La rencontre de ce jour marque à nouveau la ferme détermination du Gouvernement à faire du secteur privé, le principal moteur de la croissance économique de notre pays ».
Il a rappelé que le gouvernement ivoirien « tiendra tous ses engagements et prendra toutes les dispositions pratiques nécessaires à la création d’un climat général favorable aux affaires ».
D’où le lancement des travaux du Comité de concertation Secteur public/ secteur privé, qui a commencé par la mise en place du Comité de Mobilisation des Ressources Extérieures et de suivi des Investissements.
L’objectif global étant, à en croire M. Duncan, « d’améliorer la compétitivité de l’économie ivoirienne, notamment les coûts des facteurs, et de renforcer le climat de confiance mutuelle entre l’Etat et le secteur privé ».
C’est à ce titre, a noté le Premier ministre, que « les activités du Comité de Concertation entre l’Etat et le secteur privé initié par le décret n° 90-1233 du 17 octobre 1990, modifié par le décret n° 96-683 du 4 septembre 1996 et régi aujourd’hui par le décret n° 2001-430 du 18 juillet 2001, seront revues et redynamisées avec un suivi plus régulier par les membres du Gouvernement ».
Rendre le pays plus attractif pour les capitaux privés
« Je m’emploierai personnellement à réunir tous les trimestres, l’organe de direction qu’est le Comité d’Orientation et de Décision (COD), composé des ministres concernés, afin d’apporter des réponses concrètes aux préoccupations des acteurs du secteur privé.
Dans l’intervalle, la ministre auprès du Premier ministre, chargée de l’Economie et des Finances a été instruite à l’effet de tenir une réunion bimestrielle avec le Comité d’Orientation et de Décision, composé des ministres concernés et des présidents des organisations patronales.
Il en sera de même pour le Secrétariat technique du Comité de Concertation qui, désormais, devra se réunir tous les mois et rendre compte de ses activités au Comité d’Orientation et de Décision », a indiqué le Premier ministre.
Le chef du gouvernement a assuré que « toutes les missions inscrites dans les textes qui régissent le Comité de Concertation seront remplies, afin d’améliorer l’environnement des affaires et de rendre les entreprises ivoiriennes plus compétitives, créatrices de richesses et d’emplois.
En outre, tous les textes pris pour favoriser l’investissement privé (nouveau code des investissements, codes sectoriels) seront appliqués pour rendre la destination Côte d’Ivoire plus attractive pour les capitaux privés ».
Traitement définitif de la dette privée
Des investissements privés, mais aussi et surtout publics. Aussi, « Le Gouvernement réalisera également des investissements publics massifs non seulement dans les domaines des infrastructures économiques de base, mais aussi et notamment dans les domaines de la santé, de l’éducation et de la formation, pour permettre aux entreprises de disposer d’une main d’œuvre de qualité. Chacun sait, comme le dit l’adage : « Il n’est de richesse que d’hommes ». C’est d’ailleurs dans ce sens que le Président de la République a décidé de re-instituer les Prix d’Excellence qui seront décernés chaque année le 6 août, à la veille de la fête nationale. Ils concerneront tant le secteur Public que le secteur Privé et célébreront les lauréats des lauréats et l’excellence », a souligné M. Duncan.
Au plan purement financier, le Premier ministre a déclaré que « le gouvernement s’engage, dès janvier 2013, à procéder au traitement définitif de la dette privée pour donner un nouveau souffle aux entreprises ». Les modalités pratiques de ce traitement seront précisées ultérieurement.
Toutes ces actions du gouvernement visent à porter le taux d’investissement global à 23,5 % du Produit intérieur brut (PIB) en 2015. Actuellement (2012), il s’élève à 12,5 %, contre 8,2 % en 2011.
Quant au d’investissement public, il devra passer de 5,4 % en 2012 à 9 % en 2015. Le taux d’investissement privé qui s’élève actuellement à 7,10 % du PIB, devrait, avec toutes ces mesures, passer à 14,5 % en 2015. Il était de 2,8 % en 2011.
Le Service Communication de la Primature