Le président ivoirien Alassane Ouattara a demandé mardi une enquête "le plus rapidement" sur la bousculade qui a fait au moins 60 morts et 49 blessés à la fin d'un spectacle de feux d'artifice au réveillon du nouvel an à Abidjan.
Dans un communiqué de la présidence ivoirienne publié après une visite sur les lieux du drame et une visite aux blessés au Centre hospitalier universitaire (CHU) de Cocody, Alassane Ouattara a " demandé qu'une enquête soit menée le plus rapidement pour déterminer les circonstances et les causes de cette bousculade".
Il a en outre instruit le gouvernement de "procéder à la prise en charge des victimes".
Une "cellule de crise" a été mise en place à cet effet pour " partager ou recevoir" les informations.
Le président Alassane Ouattara a également décrété "un deuil national de trois jours à compter du mercredi 2 janvier 2013".
La traditionnelle cérémonie de voeux au palais présidentiel prévue pour jeudi et vendredi a été "reportée à une date ultérieure".
Pour le réveillon du nouvel an, un spectacle géant de feu d'artifice a été organisé au Plateau, le quartier administratif et des affaires de la capitale économique ivoirienne, dans le cadre de l'opération "Abidjan, ville lumière" visant à illuminer les principales artères de la ville à l'approche des fêtes de fin d'année.
Les spectateurs venus en grand nombre regagnaient leur domicile après le spectacle lorsque le drame a eu lieu sur la rue en face du stade Félix Houphouët-Boigny.
Selon le ministre ivoirien de l'Intérieur et de la sécurité, Hamed Bakayoko, plus de 50.000 personnes étaient sorties pour aller admirer le feu d'artifice dans le quartier du Plateau à Abidjan.
Le bilan officiel fait état de 60 morts et de 49 blessés dont 31 ont pu rentrer chez eux après des soins au CHR de Cocody.
Parmi les victimes, de nombreux adolescents dont l'âge variait entre 10 et 15 ans.
Selon un officier de police en service au commissariat du 1er arrondissement, non loin du lieu du drame, la rue mal éclairée était jonchée de troncs d'arbres sur quelques mètres à cause d'un chantier.
"C'est dans la bousculade avec la foule compacte de spectateurs que les gens ont commencé à piétiner ceux qui trébuchaient et se retrouvaient par terre", a-t-il expliqué.
L'opération "Abidjan, ville lumière" est à sa deuxième édition.
Dans un communiqué de la présidence ivoirienne publié après une visite sur les lieux du drame et une visite aux blessés au Centre hospitalier universitaire (CHU) de Cocody, Alassane Ouattara a " demandé qu'une enquête soit menée le plus rapidement pour déterminer les circonstances et les causes de cette bousculade".
Il a en outre instruit le gouvernement de "procéder à la prise en charge des victimes".
Une "cellule de crise" a été mise en place à cet effet pour " partager ou recevoir" les informations.
Le président Alassane Ouattara a également décrété "un deuil national de trois jours à compter du mercredi 2 janvier 2013".
La traditionnelle cérémonie de voeux au palais présidentiel prévue pour jeudi et vendredi a été "reportée à une date ultérieure".
Pour le réveillon du nouvel an, un spectacle géant de feu d'artifice a été organisé au Plateau, le quartier administratif et des affaires de la capitale économique ivoirienne, dans le cadre de l'opération "Abidjan, ville lumière" visant à illuminer les principales artères de la ville à l'approche des fêtes de fin d'année.
Les spectateurs venus en grand nombre regagnaient leur domicile après le spectacle lorsque le drame a eu lieu sur la rue en face du stade Félix Houphouët-Boigny.
Selon le ministre ivoirien de l'Intérieur et de la sécurité, Hamed Bakayoko, plus de 50.000 personnes étaient sorties pour aller admirer le feu d'artifice dans le quartier du Plateau à Abidjan.
Le bilan officiel fait état de 60 morts et de 49 blessés dont 31 ont pu rentrer chez eux après des soins au CHR de Cocody.
Parmi les victimes, de nombreux adolescents dont l'âge variait entre 10 et 15 ans.
Selon un officier de police en service au commissariat du 1er arrondissement, non loin du lieu du drame, la rue mal éclairée était jonchée de troncs d'arbres sur quelques mètres à cause d'un chantier.
"C'est dans la bousculade avec la foule compacte de spectateurs que les gens ont commencé à piétiner ceux qui trébuchaient et se retrouvaient par terre", a-t-il expliqué.
L'opération "Abidjan, ville lumière" est à sa deuxième édition.