Tengréla, 02 jan (AIP)- La nouvelle année 2013 a été accueillie par les populations de Tengréla (nord, région de la Bagoué) dans un spectacle de feux d’artifice offert par le député de ce département.
Tengréla - La nouvelle année 2013 a été accueillie par les populations de Tengréla (nord, région de la Bagoué) dans un spectacle de feux d’artifice offert par le député de ce département.
Les populations, sorties nombreuses pour assister à ce spectacle, le premier du genre à être organisé dans la localité, étaient visiblement heureuses.
La parlementaire, Mariam Traoré, a expliqué que son action est non seulement "un geste de réconciliation" entre les fils et les filles de Tengréla, mais aussi est une manière de dire que "la paix et la stabilité sont de retour" en Côte d’Ivoire.
A l’occasion de la saint Sylvestre, des spectacles de feux d’artifices ont été organisés dans d’autres localités, notamment à Abidjan où une bousculade a causé une soixantaine de morts et de nombreux blessés.
Après s’être rendu au centre hospitalier universitaire (CHU) et sur le lieu du drame, le président de la République, Alassane Ouattara, a décrété un deuil national de trois jours à compter de ce mercredi et ordonné une enquête policière pour élucider les circonstances et les causes de cette bousculade.
Tengréla - La nouvelle année 2013 a été accueillie par les populations de Tengréla (nord, région de la Bagoué) dans un spectacle de feux d’artifice offert par le député de ce département.
Les populations, sorties nombreuses pour assister à ce spectacle, le premier du genre à être organisé dans la localité, étaient visiblement heureuses.
La parlementaire, Mariam Traoré, a expliqué que son action est non seulement "un geste de réconciliation" entre les fils et les filles de Tengréla, mais aussi est une manière de dire que "la paix et la stabilité sont de retour" en Côte d’Ivoire.
A l’occasion de la saint Sylvestre, des spectacles de feux d’artifices ont été organisés dans d’autres localités, notamment à Abidjan où une bousculade a causé une soixantaine de morts et de nombreux blessés.
Après s’être rendu au centre hospitalier universitaire (CHU) et sur le lieu du drame, le président de la République, Alassane Ouattara, a décrété un deuil national de trois jours à compter de ce mercredi et ordonné une enquête policière pour élucider les circonstances et les causes de cette bousculade.