Bondoukou - Les populations des sept villages, situés dans la zone d’activité de la société d’exploitation de manganèse Taurian ont accepté de mettre fin à leurs manifestations à la demande du secrétaire général de la préfecture de Bondoukou, Kouassi Christophe.
"Je vous demande de laisser Taurian travailler en attendant le retour du préfet qui est allé à Abidjan prendre part à la cérémonie de présentation de vœux au Chef de l’Etat et rendre compte de la situation au ministre du pétrole, des mines et de l’énergie. Sachez que l’administration n’est pas sourde à vos préoccupations", a indiqué M. Kouassi, vendredi, lors d’une rencontre qui a réuni les manifestants, les représentants de Taurian, le sous-préfet central ainsi que les directeurs régionaux des Mines et de l’Agriculture de Bondoukou.
Une demande acceptée par les manifestants, non sans exprimer leurs griefs contre la société Taurian. Selon eux, Taurian n’a rien fait depuis le début de ses activités, et soutiennent n’avoir bénéficié d'aucune indemnisation de la part de cette entreprise à la suite de la destruction de leurs exploitations.
Pour le représentant de Taurian, Yao Eugène, toutes les victimes ont été indemnisées, des actions sociales ont été menées en faveur des populations. Il a souligné que Taurian a même adressé des courriers au ministre du Pétrole, des Mines et de l’Energie pour la mise en place d’un comité de suivi du projet d’exploitation du manganèse, afin de faire face au mieux aux problèmes des populations.
Les villageois qui manifestaient, jeudi, sur les sites de Similimi et de Tatawa (environ 25 km de Bondoukou) pour exiger réparation des dommages, ont fait trois blessés parmi les employés de la société qui ont été lapidés et séquestrés, rappelle-t-on.
"Je vous demande de laisser Taurian travailler en attendant le retour du préfet qui est allé à Abidjan prendre part à la cérémonie de présentation de vœux au Chef de l’Etat et rendre compte de la situation au ministre du pétrole, des mines et de l’énergie. Sachez que l’administration n’est pas sourde à vos préoccupations", a indiqué M. Kouassi, vendredi, lors d’une rencontre qui a réuni les manifestants, les représentants de Taurian, le sous-préfet central ainsi que les directeurs régionaux des Mines et de l’Agriculture de Bondoukou.
Une demande acceptée par les manifestants, non sans exprimer leurs griefs contre la société Taurian. Selon eux, Taurian n’a rien fait depuis le début de ses activités, et soutiennent n’avoir bénéficié d'aucune indemnisation de la part de cette entreprise à la suite de la destruction de leurs exploitations.
Pour le représentant de Taurian, Yao Eugène, toutes les victimes ont été indemnisées, des actions sociales ont été menées en faveur des populations. Il a souligné que Taurian a même adressé des courriers au ministre du Pétrole, des Mines et de l’Energie pour la mise en place d’un comité de suivi du projet d’exploitation du manganèse, afin de faire face au mieux aux problèmes des populations.
Les villageois qui manifestaient, jeudi, sur les sites de Similimi et de Tatawa (environ 25 km de Bondoukou) pour exiger réparation des dommages, ont fait trois blessés parmi les employés de la société qui ont été lapidés et séquestrés, rappelle-t-on.