Abidjan - Le directeur général du fonds monétaire international (FMI), Christine Lagarde estime que l’Afrique doit prendre des initiatives et créer son propre destin.
Dans un discours livré devant les députés ivoiriens, le directeur général du Fmi, a exprimé sa foi en une Afrique qui est un acteur actif sur la scène économique mondiale.
"L’Afrique n’est pas l’otage de ce qui se passe dans les capitales européennes et à Washington", a-t-elle déclaré, invitant l’Afrique à adopter de bonnes mesures.
Reconnaissant que l’Afrique est en "bonne position" en dépit de la crise économique mondiale, elle a en revanche indiqué que les économies, étant fortement liées, les incertitudes de l’économie mondiale constituent une menace pour l’Afrique.
A cela, elle ajoute les questions du réchauffement climatique qui perturbe la croissance, car étant une menace sur les moyens de subsistance des populations. De même que les problèmes de sécurité, puisqu’a-t-elle dit, "les conflits sont l’ennemi numéro un du développement".
Pour le directeur général du Fmi, l’Afrique doit trouver la réponse à son développement. Ce à quoi, elle a proposé quelques pistes de solution. Il s’agit, selon elle, d’accélérer la transformation économique notamment le passage d’une agriculture rudimentaire sophistiquée. Elle a proposé aussi des mesures sur la croissance solidaire, à savoir la bonne répartition des richesses.
La première responsable du Fmi a recommandé aussi des investissements dans les infrastructures telles que la santé et l’éducation.
Elle a aussi prôné l’intégration sous régionale, l’amélioration de la gouvernance transparente, et la création d’un meilleur environnement pour les entreprises.
Mme Lagarde a assuré que " c’est le chemin indispensable grâce à des politiques énergiques, résolues dans l’ensemble du continent africain pour soutenir ce moteur du changement auquel les populations aspirent".
Toutefois, le directeur général du Fmi a rassuré que son institution apportera toujours le soutien à l’Afrique, soulignant qu’une étude a montré que les pays sous programme avec le Fmi ont réalisé des performances.
kkf/tm
Dans un discours livré devant les députés ivoiriens, le directeur général du Fmi, a exprimé sa foi en une Afrique qui est un acteur actif sur la scène économique mondiale.
"L’Afrique n’est pas l’otage de ce qui se passe dans les capitales européennes et à Washington", a-t-elle déclaré, invitant l’Afrique à adopter de bonnes mesures.
Reconnaissant que l’Afrique est en "bonne position" en dépit de la crise économique mondiale, elle a en revanche indiqué que les économies, étant fortement liées, les incertitudes de l’économie mondiale constituent une menace pour l’Afrique.
A cela, elle ajoute les questions du réchauffement climatique qui perturbe la croissance, car étant une menace sur les moyens de subsistance des populations. De même que les problèmes de sécurité, puisqu’a-t-elle dit, "les conflits sont l’ennemi numéro un du développement".
Pour le directeur général du Fmi, l’Afrique doit trouver la réponse à son développement. Ce à quoi, elle a proposé quelques pistes de solution. Il s’agit, selon elle, d’accélérer la transformation économique notamment le passage d’une agriculture rudimentaire sophistiquée. Elle a proposé aussi des mesures sur la croissance solidaire, à savoir la bonne répartition des richesses.
La première responsable du Fmi a recommandé aussi des investissements dans les infrastructures telles que la santé et l’éducation.
Elle a aussi prôné l’intégration sous régionale, l’amélioration de la gouvernance transparente, et la création d’un meilleur environnement pour les entreprises.
Mme Lagarde a assuré que " c’est le chemin indispensable grâce à des politiques énergiques, résolues dans l’ensemble du continent africain pour soutenir ce moteur du changement auquel les populations aspirent".
Toutefois, le directeur général du Fmi a rassuré que son institution apportera toujours le soutien à l’Afrique, soulignant qu’une étude a montré que les pays sous programme avec le Fmi ont réalisé des performances.
kkf/tm