Sikensi, Les agriculteurs, notamment les producteurs du café et du cacao du village d'Akalékro, dans le département de Sikensi(près de 35 km de Sikensi, région de l’Agnéby-Tiassa), éprouvent d'énormes difficultés pour assurer l'évacuation de leurs produits, se plaignent-ils, invoquant l'absence de voies de communication adaptées ainsi que le mauvais état de l'existant.
N'importe quel usager foulant la zone pour la première fois ou le transporteur assurant la desserte au niveau de cette destination peuvent le confirmer, il n'existe pratiquement pas de route. La voie reliant d’Akalékro à Sikensi est impraticable du fait des crevasses ou autres dénivellations qui la jonchent, engendrant amertume et autres désagréments chez les usagers. Ceux-ci, notamment les paysans, sont ainsi obligés de passer près de trois heures de temps pour rallier, dans un sens sens comme dans l'autre, leur destination.
Pour ces populations, dont la seule source de revenu est la culture du cacao, elles appellent à la réhabilitation de leur réseau de communication, en vue de favoriser les échanges, la circulation des personnes et de leurs biens. "Aidez-nous; arrangez nos routes, afin que nous puissions évacuer nos produits", réclament-ils.
Dans le cadre du programme présidentiel d'urgence, des travaux de réhabilitation d'infrastructures ont déjà été réalisées en faveur de la région. Tout en s'en réjouissant, les populations d’Akalékro plaident pour que grand cas soit fait de leur situation, et que ce programme soit élargi à leur localité, afin qu'elles puissent bénéficier de travaux de revêtement de leur unique route. "Il est vrai que le gouvernement a déjà reprofilé des milliers de kilomètres de route, mais il reste beaucoup faire; il faut penser au village d’Akalékro", rappellent-ils.
(AIP)
Akn/sn/nf
N'importe quel usager foulant la zone pour la première fois ou le transporteur assurant la desserte au niveau de cette destination peuvent le confirmer, il n'existe pratiquement pas de route. La voie reliant d’Akalékro à Sikensi est impraticable du fait des crevasses ou autres dénivellations qui la jonchent, engendrant amertume et autres désagréments chez les usagers. Ceux-ci, notamment les paysans, sont ainsi obligés de passer près de trois heures de temps pour rallier, dans un sens sens comme dans l'autre, leur destination.
Pour ces populations, dont la seule source de revenu est la culture du cacao, elles appellent à la réhabilitation de leur réseau de communication, en vue de favoriser les échanges, la circulation des personnes et de leurs biens. "Aidez-nous; arrangez nos routes, afin que nous puissions évacuer nos produits", réclament-ils.
Dans le cadre du programme présidentiel d'urgence, des travaux de réhabilitation d'infrastructures ont déjà été réalisées en faveur de la région. Tout en s'en réjouissant, les populations d’Akalékro plaident pour que grand cas soit fait de leur situation, et que ce programme soit élargi à leur localité, afin qu'elles puissent bénéficier de travaux de revêtement de leur unique route. "Il est vrai que le gouvernement a déjà reprofilé des milliers de kilomètres de route, mais il reste beaucoup faire; il faut penser au village d’Akalékro", rappellent-ils.
(AIP)
Akn/sn/nf