Bouaflé – Le Service autonome de l’alphabétisation et de l’éducation non formelle (SAAENF) a organisé mercredi et jeudi une tournée d’information dans le département de Bouaflé en vue d’expliquer aux populations le projet d’alphabétisation à long terme de 625 enfants travaillant dans la cacao-culture.
Ce projet initié par le Bureau international du travail (BIT/IPEC-CCP) concerne les localités de Zaguita, Zanoufla et Dianoufla ainsi que les campements de N’Zuekoffikro, Kouadiokro, Broukro et Kramokro qui y sont rattachés.
Selon la directrice du SAAENF, Ouattara Maman, les enfants dont l’âge varie entre cinq et neuf ans seront directement scolarisés, contrairement à leurs aînés de 10 à 14 ans dont les meilleurs seront reversés à l’éducation formelle après avoir passé l’étape des classes passerelles.
Mme Ouattara a ajouté que les autres enfants, n’ayant pu intégrer les écoles primaires, apprendront un métier après une formation dispensée par un maître assistant avant d’être insérés facilement dans la vie sociale.
"Si le projet du BIT est bien mené, cela va entraîner une adhésion massive des populations et permettre aux enfants de sortir des champs de cacao afin d’avoir une seconde chance dans la vie" a déclaré la première responsable du SAAENF.
Elle a indiqué que le projet du BIT dont le thème est "Programme de prévention, de sensibilisation, d’éducation de base et d’insertion scolaire et socioprofessionnelle de 625 enfant victimes des pires formes de travail ou à risque dans la cacao-culture" prend également en compte 250 parents analphabètes qui bénéficieront d’une formation en vue de mieux gérer leurs activités afin d’être à l’abri des escroqueries et désagréments.
"Un parent ne sachant ni lire, ni écrire est comme un aveugle à la merci du premier escroc sur sa route. Il est de notre devoir de pouvoir l’aider pour qu’il soit désormais opérationnel", a-t-elle fait savoir, invitant la population à s’intéresser à ce projet.
Pendant la tournée, les populations ont fait connaitre leurs besoins qui sont, entre autres, l’état défectueux des routes, le manque de centres de santé, l’absence d’établissements scolaires dans certains campements et la vétusté des pompes villageoises.
Le SAAENF a pour mission principale de faire l’alphabétisation à tous les niveaux pour tous ceux qui sont dans le besoin d’apprendre à lire et à écrire grâce à des conseillers d’alphabétisation assignés à cette tâche.
Ce projet initié par le Bureau international du travail (BIT/IPEC-CCP) concerne les localités de Zaguita, Zanoufla et Dianoufla ainsi que les campements de N’Zuekoffikro, Kouadiokro, Broukro et Kramokro qui y sont rattachés.
Selon la directrice du SAAENF, Ouattara Maman, les enfants dont l’âge varie entre cinq et neuf ans seront directement scolarisés, contrairement à leurs aînés de 10 à 14 ans dont les meilleurs seront reversés à l’éducation formelle après avoir passé l’étape des classes passerelles.
Mme Ouattara a ajouté que les autres enfants, n’ayant pu intégrer les écoles primaires, apprendront un métier après une formation dispensée par un maître assistant avant d’être insérés facilement dans la vie sociale.
"Si le projet du BIT est bien mené, cela va entraîner une adhésion massive des populations et permettre aux enfants de sortir des champs de cacao afin d’avoir une seconde chance dans la vie" a déclaré la première responsable du SAAENF.
Elle a indiqué que le projet du BIT dont le thème est "Programme de prévention, de sensibilisation, d’éducation de base et d’insertion scolaire et socioprofessionnelle de 625 enfant victimes des pires formes de travail ou à risque dans la cacao-culture" prend également en compte 250 parents analphabètes qui bénéficieront d’une formation en vue de mieux gérer leurs activités afin d’être à l’abri des escroqueries et désagréments.
"Un parent ne sachant ni lire, ni écrire est comme un aveugle à la merci du premier escroc sur sa route. Il est de notre devoir de pouvoir l’aider pour qu’il soit désormais opérationnel", a-t-elle fait savoir, invitant la population à s’intéresser à ce projet.
Pendant la tournée, les populations ont fait connaitre leurs besoins qui sont, entre autres, l’état défectueux des routes, le manque de centres de santé, l’absence d’établissements scolaires dans certains campements et la vétusté des pompes villageoises.
Le SAAENF a pour mission principale de faire l’alphabétisation à tous les niveaux pour tous ceux qui sont dans le besoin d’apprendre à lire et à écrire grâce à des conseillers d’alphabétisation assignés à cette tâche.
