Bouaké - La grève des fonctionnaires et agents de l’Etat de Côte d’Ivoire, qui a connu un début timide à Bouaké, a été bien suivie, mardi, au deuxième jour du mouvement, a constaté l’AIP.
Si le personnel de la préfecture de Bouaké et des directions de la Fonction publique et de la Construction, de l'Urbanisme et de l'assainissement ont travaillé, lundi et mardi, la plupart des fonctionnaires des autres directions ont par contre brillé par leur absence.
C’est le cas d’un certain nombre d’agents du ministère de l’Agriculture qui, ayant déserté très tôt leur lieu de travail depuis lundi, ont déclaré respecter le mot d’ordre de la confédération des syndicats de la fonction publique (COSYFPO-CI).
M. K T, agent à la préfecture de Bouaké, a déploré l’attitude de certains travailleurs qui n’observent pas le mot d’ordre de grève. "Il faut une bonne coordination des responsables locaux de nos différents syndicats, de sorte que le message passe véritablement au sein des travailleurs à Bouaké pour que le mouvement soit une réussite totale", a-t-il suggéré.
Selon lui, cette grève doit être soutenue par tous pour sortir les fonctionnaires de leur précarité qui dure depuis des années. La COSYFOP-CI a lancé, lundi, un arrêt de travail de 72 heures pour revendiquer l’amélioration des salaires.
(AIP)
nam/cmas
Si le personnel de la préfecture de Bouaké et des directions de la Fonction publique et de la Construction, de l'Urbanisme et de l'assainissement ont travaillé, lundi et mardi, la plupart des fonctionnaires des autres directions ont par contre brillé par leur absence.
C’est le cas d’un certain nombre d’agents du ministère de l’Agriculture qui, ayant déserté très tôt leur lieu de travail depuis lundi, ont déclaré respecter le mot d’ordre de la confédération des syndicats de la fonction publique (COSYFPO-CI).
M. K T, agent à la préfecture de Bouaké, a déploré l’attitude de certains travailleurs qui n’observent pas le mot d’ordre de grève. "Il faut une bonne coordination des responsables locaux de nos différents syndicats, de sorte que le message passe véritablement au sein des travailleurs à Bouaké pour que le mouvement soit une réussite totale", a-t-il suggéré.
Selon lui, cette grève doit être soutenue par tous pour sortir les fonctionnaires de leur précarité qui dure depuis des années. La COSYFOP-CI a lancé, lundi, un arrêt de travail de 72 heures pour revendiquer l’amélioration des salaires.
(AIP)
nam/cmas