Zuénoula - Les responsables des Eaux et Forêts de la région forestière de Daloa, réunis mercredi à Zuénoula, ont dressé le bilan de leurs activités de l’année 2012, relevant de réels motifs de satisfaction malgré des difficultés de fonctionnement dues à un manque de moyens.
La réunion à laquelle a pris part l’ensemble des 15 chefs de poste de cette direction régionale s’inscrit dans le cadre des rencontres trimestrielles tournantes initiées par son premier responsable, le capitaine Kouamé Jean Barboza, pour mieux coordonner les activités de ses services.
Selon lui, tous les services forestiers sous son commandement ont été redéployés, au cours de l’année 2012 et ont pu dans certains cas, comme à Zuénoula, mettre fin aux activités des forces parallèles qui s’étaient substituées, en leur absence, aux agents des Eaux et Forêts après la crise postélectorale.
Relevant les dangers auxquels sont cependant exposés ses agents dans l’accomplissement de leur service, il a invité les populations à collaborer avec ceux-ci dans leur mission de protection de l’eau et de la forêt dans leur région, en ayant à l’esprit le changement climatique qui menace chaque jour un peu plus la Côte d’Ivoire.
(AIP)
akr/kg/cmas
La réunion à laquelle a pris part l’ensemble des 15 chefs de poste de cette direction régionale s’inscrit dans le cadre des rencontres trimestrielles tournantes initiées par son premier responsable, le capitaine Kouamé Jean Barboza, pour mieux coordonner les activités de ses services.
Selon lui, tous les services forestiers sous son commandement ont été redéployés, au cours de l’année 2012 et ont pu dans certains cas, comme à Zuénoula, mettre fin aux activités des forces parallèles qui s’étaient substituées, en leur absence, aux agents des Eaux et Forêts après la crise postélectorale.
Relevant les dangers auxquels sont cependant exposés ses agents dans l’accomplissement de leur service, il a invité les populations à collaborer avec ceux-ci dans leur mission de protection de l’eau et de la forêt dans leur région, en ayant à l’esprit le changement climatique qui menace chaque jour un peu plus la Côte d’Ivoire.
(AIP)
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