Yopougon: indignes « parents »
Dans la nuit du 1er au 2 février 2013, trois mauvais gars dégageant, dit-on, l'odeur du mauvais vin, consommé, c'est sûr, dans un maquis, accèdent au groupe scolaire « La Sorbonne » à Yopougon-Ananeraie. Pas pour inscrire leurs gosses, sans doute même déjà renvoyés de l'école, mais pour voler 773 000 F Cfa, des ordinateurs et des tee-shirts à l’effigie de l'établissement. Des tricots qui vont certainement servir de maillots à l'équipe de foot de leur village participant à un tournoi, où le trophée est un verre en coupe, avec des fleurs « Marguerite » à l'intérieur. Ô honte !
Yopougon : bandits « picoleurs »
Un bar climatisé, situé à Yopougon-Sideci, a reçu, le dimanche 3 février 2013 à 3h du matin, des artistes d'un genre particulier. Alors qu'on se trémoussait sur le refrain « Sur le côté ! sur le côté ! nabissa! nabissa ! », cinq faux types font leur entrée. Ils ont les visages masqués de moitié comme les bandits dans les films « Western ». Leur chef, un râblé avec une solide barbe aux poils aussi durs que des pointes 10, fait arrêter la musique avant de traiter les clients d'âmes perdues. Est-ce un Jihadiste qui devrait avoir honte de fuir Hollande au Mali ? En tout cas, ces soldats de la pègre dépouillent leurs victimes d'une forte somme d'argent et se bigrent ensuite de babys avant de décaler.
Abobo : malédiction
Le 1er février 2013, il est 22h, quand M.S, de retour de voyage, rentre chez lui à Abobo. Il a les bras chargés de bananes, gombos et autres ingrédients pour se taper un bon « gouagouassou » avec des crabes et « kplôs ». Le tout accompagné d'un vin, bon marché. Malheureusement, il aura saliver pour rien. Trois bandits qui lui barrent la route à deux pas de chez lui, lui ravissent son colis. Ils iront manger et boire à sa santé. Les voyant partir, M.S fléchit les genoux pour qu'ils soient tous pris de diarrhée et se retrouvent dans des toilettes publiques, déjà occupées par d'autres bonhommes ayant la chiasse, leur demandant d'aller voir ailleurs.
Cocody : côcôricô !
Les autres attaquent des banques, des commerces, etc. En tout cas, des endroits où on peut se faire beaucoup de pognon. Le 11 février 2013, trois rigolos de bandits ont, plutôt eux, choisi de s'en prendre au magasin « Coquivoire », en face de l'Epp « Attoban », à la Riviera. Avec un vieux pistolet dont le fabricant n'a certainement même plus souvenance de l'existence, ils neutralisent la gérante et se taillent dans la nature avec un peu de fric. Épargnant les coquelets qui ne figurent pas à leur menu plutôt meublé par de « l'apkessi » et du « côcô-baka ». Et ça, pour les retrouver, les responsables de « Coquivoire » devront attendre que les poules poussent d'abord des dents.
2 Plateaux : femme de feu
Si c'est cela la recherche de l'égalité des sexes, il y a des femmes qui ont échoué « dèh ! ». Aller se mettre dans des gangs pour voler comme des hommes, c'est pas ce qu'on leur demande. En tout cas, une dame au sein d'une bande armée, a, le 2 février 2013 à minuit, aux II-Plateaux, arraché son taxi et sa recette au sieur Sawadogo I. Mais qui est cinglé pour marier une telle femme ? Parce que, si tu refuses un jour de lui faire « ça », elle va te braquer dans ton propre lit et te crier dessus: « allez, viens jouer rôle wouai ! » et t'obliger après, à lui piler du « foutou » accompagné de sauce « gnangnan » pour qu'elle se revigore. Hé Dieu !
Une rubrique de Madeleine TANOU
Dans la nuit du 1er au 2 février 2013, trois mauvais gars dégageant, dit-on, l'odeur du mauvais vin, consommé, c'est sûr, dans un maquis, accèdent au groupe scolaire « La Sorbonne » à Yopougon-Ananeraie. Pas pour inscrire leurs gosses, sans doute même déjà renvoyés de l'école, mais pour voler 773 000 F Cfa, des ordinateurs et des tee-shirts à l’effigie de l'établissement. Des tricots qui vont certainement servir de maillots à l'équipe de foot de leur village participant à un tournoi, où le trophée est un verre en coupe, avec des fleurs « Marguerite » à l'intérieur. Ô honte !
Yopougon : bandits « picoleurs »
Un bar climatisé, situé à Yopougon-Sideci, a reçu, le dimanche 3 février 2013 à 3h du matin, des artistes d'un genre particulier. Alors qu'on se trémoussait sur le refrain « Sur le côté ! sur le côté ! nabissa! nabissa ! », cinq faux types font leur entrée. Ils ont les visages masqués de moitié comme les bandits dans les films « Western ». Leur chef, un râblé avec une solide barbe aux poils aussi durs que des pointes 10, fait arrêter la musique avant de traiter les clients d'âmes perdues. Est-ce un Jihadiste qui devrait avoir honte de fuir Hollande au Mali ? En tout cas, ces soldats de la pègre dépouillent leurs victimes d'une forte somme d'argent et se bigrent ensuite de babys avant de décaler.
Abobo : malédiction
Le 1er février 2013, il est 22h, quand M.S, de retour de voyage, rentre chez lui à Abobo. Il a les bras chargés de bananes, gombos et autres ingrédients pour se taper un bon « gouagouassou » avec des crabes et « kplôs ». Le tout accompagné d'un vin, bon marché. Malheureusement, il aura saliver pour rien. Trois bandits qui lui barrent la route à deux pas de chez lui, lui ravissent son colis. Ils iront manger et boire à sa santé. Les voyant partir, M.S fléchit les genoux pour qu'ils soient tous pris de diarrhée et se retrouvent dans des toilettes publiques, déjà occupées par d'autres bonhommes ayant la chiasse, leur demandant d'aller voir ailleurs.
Cocody : côcôricô !
Les autres attaquent des banques, des commerces, etc. En tout cas, des endroits où on peut se faire beaucoup de pognon. Le 11 février 2013, trois rigolos de bandits ont, plutôt eux, choisi de s'en prendre au magasin « Coquivoire », en face de l'Epp « Attoban », à la Riviera. Avec un vieux pistolet dont le fabricant n'a certainement même plus souvenance de l'existence, ils neutralisent la gérante et se taillent dans la nature avec un peu de fric. Épargnant les coquelets qui ne figurent pas à leur menu plutôt meublé par de « l'apkessi » et du « côcô-baka ». Et ça, pour les retrouver, les responsables de « Coquivoire » devront attendre que les poules poussent d'abord des dents.
2 Plateaux : femme de feu
Si c'est cela la recherche de l'égalité des sexes, il y a des femmes qui ont échoué « dèh ! ». Aller se mettre dans des gangs pour voler comme des hommes, c'est pas ce qu'on leur demande. En tout cas, une dame au sein d'une bande armée, a, le 2 février 2013 à minuit, aux II-Plateaux, arraché son taxi et sa recette au sieur Sawadogo I. Mais qui est cinglé pour marier une telle femme ? Parce que, si tu refuses un jour de lui faire « ça », elle va te braquer dans ton propre lit et te crier dessus: « allez, viens jouer rôle wouai ! » et t'obliger après, à lui piler du « foutou » accompagné de sauce « gnangnan » pour qu'elle se revigore. Hé Dieu !
Une rubrique de Madeleine TANOU