Les vols commerciaux d’Air Côte d’Ivoire ont débuté depuis le 12 Novembre 2012.
Le Directeur général de cette compagnie aérienne, dans cet entretien, assure que les choses se déroulent normalement. Mieux, l’entreprise atteindra sa vitesse de croisière au mois d’avril. Le Patriote : Pourquoi avoir choisi la capitale guinéenne pour le lancement du troisième avion d’Air Côte d’Ivoire ? René Decurey : Pour nous, Conakry est une destination importante. Nous avons lancé Dakar, Bamako. Conakry, une zone de haute fréquence ne pouvait pas ne pas être desservie. La Guinée est pour nous un marché très important.
LP : Combien de vols il y a-t-il par semaine sur Conakry ? R.D : Nous avons quatre vols par semaine à destination de Conakry. A partir du mois d’avril nous ajouterons une cinquième fréquence. Et j’espère qu’en début d’année prochaine, avec l’arrivée d’un autre avion, il y aura des vols tous les jours vers ce pays.
LP : Quelle est la particularité de ce troisième avion ?
R.D : C’est un avion qui a 70 places, au lieu de 110 places pour les Airbus. Il consomme à peu près la moitié du carburant de l’Airbus. Il est très économique. Lorsque nous avons un marché aussi important qu’on doit développer et que le nombre de passagers n’est pas encore suffisant, il faut un avion de petite taille, rapide, confortable et moderne. C’est pourquoi nous avons choisi ce type d’avion pour démarrer.
LP : A quand le lancement des vols domestiques en Côte d’Ivoire ? R.D : Dès que les aérogares seront réhabilités et lorsque nous aurons acquis notre quatrième avion. Et ce sera au mois de mai ou juin 2013. Ce sera dans trois mois voire quatre.
LP : Vous avez lancé les vols commerciaux depuis novembre 2012. A ce jour, quel bilan pouvez-vous faire à mi-parcours ?
RD : Nous avons commencé une opération régulière, importante, malgré de faibles chargements. Mais un chargement faible est normal parce que nous, on est arrivé quand tout le monde était déjà là. Donc nous sommes un nouveau-né. On essaie de se faire une place. On ne se plaint pas. Nous sommes à 40 % du taux de chargement (remplissage). Ce n’est pas énorme mais c’est mieux par rapport à ce qu’on pensait. En plus, il faut dire que les mois de janvier et février ne sont pas très bons en terme de voyage. Je suis très confiant. On peu rapidement monter en puissance avec un programme.
LP : Combien de villes ou capitales Air Côte d’Ivoire dessert-elle à ce jour ?
R.D : Nous en desservons pour le moment onze. A savoir : Abidjan, Dakar, Conakry, Bamako, Ouagadougou, Accra, Lomé, Cotonou, Libreville, Brazzaville, Douala.
LP : Quand est ce que vous compter atteindre la vitesse de croisière ?
RD : Maintenant, avec le troisième avion, on peut offrir un service acceptable. Mais la vitesse de croisière pourra être atteinte avec l’arrivée du quatrième avion, prévue pour le mois d’avril 2013. Le mois d’avril sera très décisif pour nous. AC
Le Directeur général de cette compagnie aérienne, dans cet entretien, assure que les choses se déroulent normalement. Mieux, l’entreprise atteindra sa vitesse de croisière au mois d’avril. Le Patriote : Pourquoi avoir choisi la capitale guinéenne pour le lancement du troisième avion d’Air Côte d’Ivoire ? René Decurey : Pour nous, Conakry est une destination importante. Nous avons lancé Dakar, Bamako. Conakry, une zone de haute fréquence ne pouvait pas ne pas être desservie. La Guinée est pour nous un marché très important.
LP : Combien de vols il y a-t-il par semaine sur Conakry ? R.D : Nous avons quatre vols par semaine à destination de Conakry. A partir du mois d’avril nous ajouterons une cinquième fréquence. Et j’espère qu’en début d’année prochaine, avec l’arrivée d’un autre avion, il y aura des vols tous les jours vers ce pays.
LP : Quelle est la particularité de ce troisième avion ?
R.D : C’est un avion qui a 70 places, au lieu de 110 places pour les Airbus. Il consomme à peu près la moitié du carburant de l’Airbus. Il est très économique. Lorsque nous avons un marché aussi important qu’on doit développer et que le nombre de passagers n’est pas encore suffisant, il faut un avion de petite taille, rapide, confortable et moderne. C’est pourquoi nous avons choisi ce type d’avion pour démarrer.
LP : A quand le lancement des vols domestiques en Côte d’Ivoire ? R.D : Dès que les aérogares seront réhabilités et lorsque nous aurons acquis notre quatrième avion. Et ce sera au mois de mai ou juin 2013. Ce sera dans trois mois voire quatre.
LP : Vous avez lancé les vols commerciaux depuis novembre 2012. A ce jour, quel bilan pouvez-vous faire à mi-parcours ?
RD : Nous avons commencé une opération régulière, importante, malgré de faibles chargements. Mais un chargement faible est normal parce que nous, on est arrivé quand tout le monde était déjà là. Donc nous sommes un nouveau-né. On essaie de se faire une place. On ne se plaint pas. Nous sommes à 40 % du taux de chargement (remplissage). Ce n’est pas énorme mais c’est mieux par rapport à ce qu’on pensait. En plus, il faut dire que les mois de janvier et février ne sont pas très bons en terme de voyage. Je suis très confiant. On peu rapidement monter en puissance avec un programme.
LP : Combien de villes ou capitales Air Côte d’Ivoire dessert-elle à ce jour ?
R.D : Nous en desservons pour le moment onze. A savoir : Abidjan, Dakar, Conakry, Bamako, Ouagadougou, Accra, Lomé, Cotonou, Libreville, Brazzaville, Douala.
LP : Quand est ce que vous compter atteindre la vitesse de croisière ?
RD : Maintenant, avec le troisième avion, on peut offrir un service acceptable. Mais la vitesse de croisière pourra être atteinte avec l’arrivée du quatrième avion, prévue pour le mois d’avril 2013. Le mois d’avril sera très décisif pour nous. AC